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1 - Présentation & Sommaire - L'Inframonde Sensoriel
2 - Éline - Épisode 1 : Le Club
3 - Épisode 2 - Derrière la porte
4 - Épisode 3 : Les premiers frissons
5 - Éline - Épisode 4 : Plus bas encore 🌶
6 - Éline - Épisode 5 : L'initiation 🌶🌶
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Éline - Épisode 1 : Le Club

> Contenu réservé à un public averti

Ce récit explore des thèmes sensoriels et psychologiques. Il est destiné à un public averti.

L'Inframonde Sensoriel est une œuvre de fiction. Toute ressemblance avec des personnes réelles serait purement fortuite.

Merci de lire en conscience.


Épisode 1 : Le Club

Éline ne savait pas trop pourquoi elle avait dit oui. C'était Clara qui avait lancé ça comme une blague, un soir de vin et de confidences. Un "tu verras, c'est chic, c'est secret, c'est différent." Un lieu tenu par des femmes. Avec un mot de passe, un code couleur, un nom à donner : Emma. 

Elle avait hésité. Mais quelque chose en elle avait dit : Va voir. 

Ce soir-là, elle avait enfilé une robe noire moulante aux bretelles fines, assez courte pour dévoiler ses jambes quand elle marchait, mais suffisamment élégante pour ne jamais paraître vulgaire. À ses pieds, des talons hauts vernis qui allongeaient sa silhouette, et à la main, un petit sac noir discret mais raffiné. 

Elle avait pris le taxi seule. Arrivée devant la grande porte en bois, dans une ruelle élégante et discrète, elle avait envoyé un dernier message à Clara : "Je suis là. Je t'attends devant." Et Clara avait répondu : "Je suis à la bourre, problème au boulot, mais entre, demande Emma, je te rejoins dedans. Fais comme chez toi, c'est safe. Tu vas adorer." 

Éline avait hésité une dernière fois. Puis elle avait poussé la porte. 

Un parfum chaud l'avait enveloppée immédiatement. Un mélange de bois, de musc, d'encens discret. Devant elle, une femme magnifique, en tenue noire soyeuse, l'avait accueillie avec un sourire doux et intense à la fois. 

"Bonsoir. Vous êtes avec Clara ? Je suis Emma." 

Elle avait hoché la tête. Emma n'avait rien demandé d'autre. Elle l'avait guidée à travers un couloir tamisé, jusqu'à une petite salle d'accueil, chic et feutrée. Canapés en velours, bar discret, musique lente. 

Et ce masque... blanc, fin, presque théâtral, qu'on lui avait glissé dans les mains. 

"Ici, vous êtes libre." 

Avait soufflé Emma. Puis elle était repartie. 

Éline s'était assise. Commandé un verre. Et attendu. Les minutes passaient. Mais Clara ne venait pas. 

Des femmes passaient. Certaines riaient. D'autres étaient seules. Il y avait des regards. Des chuchotements. Et derrière un grand rideau rouge... une pancarte suspendue, écrite en lettres dorées : 

"UN VOYAGE." 

S'interrogeait t'elle. Quel genre de voyage ces femmes allaient-elles réaliser... ? Elle observa plus en détail la pièce. 

Un homme seul, bien habillé, qui semblait attendre quelqu'un, les yeux fixés sur l'entrée. 

Deux filles complices, installées non loin, jouaient à se défier du regard. Elles se murmuraient des choses à l'oreille, pouffaient doucement, un peu trop fort parfois. L'une attrapa son verre, le fit tourner entre ses doigts, l'air faussement détaché. L'autre croisa les jambes, se pencha vers elle, glissa une phrase dans son oreille. 

Elles éclatèrent de rire. Un rire timide. Nerveux. Curieux. Puis elles regardèrent toutes deux en direction de ce tissu de velours rouge. Un échange de regards. Un haussement de sourcil. Une main sur une cuisse. Elles semblaient s'encourager, se tester. 

Mais restèrent là, encore quelques instants, comme si le moment n'était pas encore venu. La chaleur montait dans la pièce. Pas celle de l'air. Celle des corps. Des attentes. Des pensées. 

C'est alors que la déesse entra. 

Une femme. Pas une fille. Pas une jolie femme. Une apparition. 

Ses pas étaient lents, précis, presque chorégraphiés. Ses cheveux roulés sur l'épaule, sa tenue noire fendue au niveau de la hanche, laissait deviner un corps long, souple, sensuel. Ses lèvres pulpeuses brillaient. Et Éline, sans comprendre pourquoi... ressentit un feu discret dans son bas-ventre. Un désir féminin. Étrange. Nouveau. Mais profond. 

Elle la regarda intensément. Hypnotisée. La femme tourna la tête, sentit ce regard sur elle, sourit doucement... Replaça sa mèche d'un geste lent et gracieux... Et inclina la tête vers Éline. Comme une invitation. Une requête silencieuse. « Rejoins-moi. » 

Elle s'avança jusqu'à l'homme qui l'attendait. Élégant. Énigmatique. Ils se reconnurent. Elle lui tendit la main. Il se leva. Puis, arrivé devant le rideau, il ouvrit le bras pour l'inviter à passer. Mais elle se retourna. Un dernier regard vers Éline. Un sourire doux et provocant à la fois. Puis elle se hissa sur la pointe des pieds, embrassa cet homme longuement... langoureusement. 

Éline sentit sa gorge se nouer. Elle avala lentement sa salive, fit tourner machinalement son verre entre ses doigts. Un frisson. Un fantasme. Un trouble silencieux. 

Le baiser cessa. La déesse essuya doucement ses lèvres avec ses doigts, posa une dernière fois sa main sur le torse de l'homme... Et disparut derrière le rideau. 

Comme happée, elle ne bougea plus. Une étrange tension la paralysa un instant. Une chaleur étrange au creux du ventre. Une curiosité presque douloureuse. Un besoin. Elle regarda autour. Rien sur internet. Pas un mot sur ce "Voyage". Pas un programme. Pas de panneau. Rien. 

Elle pensa à écrire à Clara... Mais elle savait qu'elle se moquerait. Et elle détestait ça. 

Alors elle resta là. Silencieuse. Tendue. Et cette tension... elle la sentait entre ses cuisses. 

Une serveuse passa près d'elle. Éline sentit son cœur taper plus fort. 

« Je vais... je vais reprendre un verre de vin, s'il vous plaît. » 

La serveuse sourit poliment, hocha la tête. 

« Bien sûr, madame. » 

Éline bafouilla. 

« Et euh... le 'Voyage'... on peut... tout le monde peut y aller ? » 

La femme ne changea pas d'expression. Juste un sourire un peu plus tendre. 

« Dès que vous le souhaitez, madame. » 

Et elle s'éloigna. 

Éline souffla. Elle avait chaud. Vraiment chaud. La question ou la réponse ? Elle ne savait pas. Mais elle sentait qu'elle ne pouvait pas partir maintenant. 

Elle attrapa le menu, s'en fit de l'air avec, et murmura presque à elle-même : « Un autre verre... et j'y vais. » 

Perdue dans ses pensées. "T'es nulle. T'as peur de tout..." Ses yeux fixaient le fond de son verre vide. "T'es là maintenant. Tu vas pas rentrer." Elle hocha la tête, seule, comme pour se répondre à elle-même. 

"Et cette femme... magnifique... elle m'a invitée, non ?" Ses dents mordillaient doucement sa lèvre inférieure. Son souffle était lent, chaud. Sans s'en rendre compte, ses doigts enroulés autour du verre commencèrent à glisser de haut en bas. Comme pour se détendre. Comme pour s'occuper. Comme pour s'oublier. Un geste doux, répété. Automatique. 

Puis elle se figea. Elle regarda sa main. Masturbant ce verre vide, délicatement. Un aller-retour subtil. Tactile. Troublant. 

"Mais... qu'est-ce que..." 

Elle retira sa main lentement, le cœur qui battait un peu plus fort. 

Devant elle, les deux filles d'avant s'étaient redressées. L'une ajustait sa mini-jupe, révélant ses porte-jarretelles. L'autre remontait la fermeture de sa robe, libérant sa jambe. Leurs visages s'étaient transformés. Moins rieurs. Plus concentrés. Elles s'étaient levées. Et elles s'étaient dirigées, elles aussi, vers le voile écarlate. Leurs talons cliquetaient doucement sur le sol. Puis elles disparurent. 

Éline resta seule. La pièce semblait plus vide. Plus silencieuse. Comme si tout l'espace attendait qu'elle se décide. 

La serveuse arriva à ce moment-là. Déposa le nouveau verre. Éline, gênée, baissa les yeux. Elle murmura un merci à peine audible. La serveuse s'éloigna sans un mot de plus. 

Éline reprit le verre, et le froid du liquide lui remonta le long du bras. 

Ses doigts se resserrèrent sur le verre. Le regard fixée sur le rideau. Elle se parlait à voix basse. 

"Vas-y Éline. Tu peux le faire. T'as pas fait tout ce chemin pour rentrer maintenant. Et Clara... elle va encore te chambrer si tu lâches." 

Elle plissa les yeux. Un soupir agacé. Puis elle leva le verre, et le vida d'un trait. Comme l'avait fait l'autre fille. Comme un rite. Comme un déclic. Et dans la hâte de se lever, elle oublia son masque, resté posé là, sur la table.

Une impulsion soudaine. Pas de certitude. Juste ce besoin de se lever. Pas tremblants. Pas sûrs. Mais déterminés. 

Il n'y avait plus personne dans la pièce. Juste la lumière tamisée. Et cette couleur rouge qui l'appelait. Ses pas résonnaient doucement sur le sol. 

Arrivée devant, elle s'arrêta. Sa main effleura le tissu. Un frisson la parcourut. Du creux du dos jusqu'à la nuque. Sa culotte devenait gênante. Trop humide. Trop présente. 

Une chaleur monta brutalement en elle. Pas mentale. Une pulsion. Crue. Physique. Viscérale. Et sans réfléchir davantage, elle poussa le rideau. 

Et entra. 

Derrière, un couloir étroit s'ouvrait, plongé dans une semi-obscurité. Les murs étaient sombres, tapissés d'un noir mat, et le sol recouvert d'une moquette rouge épaisse, silencieuse. Seules quelques lumières tamisées suspendues au plafond venaient effleurer le chemin, créant des halos discrets à intervalles réguliers. Le silence, doux et dense, était seulement traversé par une musique étrange, lente, presque méditative. 

Éline avança. Le couloir tournait à gauche, puis, deux mètres plus loin, virait de nouveau à droite. À chaque pas, son souffle s'accélérait, son cœur battait plus fort. 

Les murs étaient ornés de tableaux lumineux, rétroéclairés. Toujours la même femme, peinte dans des nuances chaudes et sensuelles. Sur le premier tableau, elle avançait lentement vers un bassin, vêtue d'un voile léger. Sur le suivant, elle retirait une bretelle de sa robe. Puis, plus loin, elle laissait tomber le tissu, révélant un dos nu, des fesses élégantes, un corps maîtrisé, sublime. 

Chaque pas que faisait Éline semblait suivre la progression de cette femme mystérieuse. Elle se surprit à ralentir, observant chaque toile avec une fascination silencieuse. C'était la seule distraction dans ce couloir hypnotique. Une invitation visuelle, presque rituelle. 

Puis le couloir s'ouvrit enfin sur un mur droit, de trois mètres à peine. Le dernier tableau trônait là. La femme était nue. Elle tenait sa culotte à la main, le visage retourné vers le spectateur, comme si elle allait la lâcher. Son corps parfait baignait dans une lumière de lune irréelle. Devant elle, un bassin. Un rideau noir lui faisait face. 

Elle s'arrêta dans un halo de lumière au sol, comme si c'était sa place. 

Une femme apparut à droite. Peignoir luxueux, noir profond, coutures dorées, broderie délicate sur la poitrine : « Le Voyage ». Elle sourit à Éline, effleura le rideau noir, l'ouvrit doucement, et fit un geste de la main pour l'inviter à avancer. 

Éline ouvrit la bouche, prête à poser une question. Mais l'inconnue porta un doigt à ses lèvres, en silence. Un simple « chuuut » sans un mot. 

Elle resta figée. Curiosité, vertige, crainte légère. Où était-elle tombée ? Un spa ? Un hammam ? Un espace bien-être extravagant ? Elle secoua la tête, presque agacée par sa propre peur. 

Arrête de faire de la merde, Éline. Passe pas pour une idiote. 

Une grande inspiration et elle avança. 

Le nouveau couloir était plus large, toujours silencieux, mais bordé d'une quinzaine de portes noires. Chacune portait une poignée dorée raffinée, et une LED minuscule à côté : certaines vertes, d'autres rouges. Devant chaque porte, un petit halo ovale éclairait discrètement l'espace. 

Éline observa. Un autre tableau. La même femme que tout à l'heure, celle à la culotte, se trouvait désormais de dos, enfilant un peignoir identique à celui de l'hôtesse. Ses fesses parfaites se dessinaient sous le tissu qui glissait lentement sur elle. 

Elle s'attarda. Perdue dans les détails. Quand elle se retourna, l'hôtesse était là, lui tendant un peignoir noir identique. Logo « Le Voyage » dans le dos, tissu incroyablement doux. Elle lui tendit la main, ouvrit une porte face à elles. La LED passa au rouge. 

Puis elle entra. Un vestiaire élégant. Température douce, parfum subtil d'eau chaude et de chlore. Elle souffla, un peu soulagée. Un spa... probablement. 

Un rire bête lui échappa. 

Un fauteuil chic, des casiers noirs sans poignée, épurés, modernes. Elle s'approcha. Sur le casier, un simple cercle vert lumineux. Elle posa le doigt dessus : il s'éclaira. Elle sursauta, retira sa main. Rien ne se passa. 

Elle appuya à nouveau, plus longtemps. Un flash rouge. Un scan. Click. Le casier s'ouvrit. Un espace pour ses vêtements, un support pour les chaussures, des cintres. 

Et les autres casiers ? Un essai, lumière rouge. Refus. 

Bon... OK Éline. Calme-toi. 

La porte par laquelle elle était entrée n'avait pas de poignée. Celle d'en face non plus. 

Super... dans quelle merde tu t'es encore mise. 

Elle se tourna vers le peignoir. Tissu soyeux. Une ceinture tressée. Elle le colla contre son visage. Si doux. Presque enveloppant. 

On va juste voir. Rien ne m'oblige à aller dans le spa. Si c'est trop, je repars. 

Elle se tenait là. Au bord d'un monde inconnu. Et tout son corps vibrait. 

Un sourire discret, une mèche de cheveux replacée. Et commença à se déshabiller. 

Elle posa son sac à main et son téléphone sur la petite table basse à côté. Puis elle s'assit dans le fauteuil et ôta ses talons, un à un. Ses pieds nus se posèrent au sol, la libération la fit soupirer. Elle massa doucement ses orteils. Heureusement qu'elle avait pris le temps de poser ce vernis la veille... elle ne s'attendait pas à finir les pieds nus, encore moins dans un lieu pareil. Mais ce détail, discret, lui donnait une étrange impression de tenue. De contrôle.

Éline se leva. Elle descendit lentement la fermeture de sa robe, dévoilant une épaule, nue, puis l'autre. Ses cheveux tombèrent sur son visage. Elle arqua légèrement le dos, ses mains glissant le long de ses bras comme si une autre femme la déshabillait. Elle prit plaisir à faire glisser le tissu. La robe descendit, révélant peu à peu sa poitrine enfermée dans une dentelle fine. Les seins remontés, tendus, faisaient saillir le tissu. Éline en caressa un, frissonna. 

Elle découvrit son ventre plat, son nombril, le V discret au bas de ses hanches. Puis son dos. Parfait. Les creux de Vénus bien dessinés. Une goutte de sueur perla dans la cambrure. La robe glissa encore, butant contre ses fesses rebondies. Elle fit de petits mouvements de hanche, sensuels, pour l'en débarrasser. Elle gémit faiblement lorsque le tissu céda. Il tomba sur ses jambes, glissa, dévoila ses cuisses, ses mollets, puis s'échoua au sol. 

Elle détacha lentement le soutien-gorge. Chaque pression sur la fermeture était une libération. Les marques rouges laissées par les baleines la faisaient soupirer. Elle retira le tissu, ses tétons effleurés frémirent sous le frottement, puis elle rangea délicatement le tout dans le vestiaire. 

Trop de pudeur encore... elle enfila le peignoir. Le tissu la couvrit d'un voile doux, chaud, presque réconfortant. Elle chercha un miroir, n'en trouva pas. Instinctivement, elle attrapa son téléphone. Aucun réseau. Évidemment. Elle le reposa, le glissa dans son sac, referma le casier. 

Elle s'arrêta. J'enlève tout ? C'est mixte ? Je suis épilée ? Attends... ÉLINE. Stop. Calme-toi. 

Secoua la tête, noua fermement la ceinture à sa taille. Une sécurité, une barrière. Puis, dans un geste malhabile, elle glissa la main dans l'ouverture, attrapa sa culotte en dentelle, et essaya de la faire tomber sans rien dévoiler. Elle se tortillait. La culotte glissa, tomba. Elle sourit, amusée, la récupéra. 

Mais en l'ayant dans la main, elle sentit l'humidité. Elle bloqua. Ses doigts ressentirent cette chaleur... cette trace. Elle approcha lentement le tissu, presque par réflexe, curieuse. Sa langue effleura ses lèvres. Puis elle s'arrêta, sursauta. 

"Putain... dégueu." Elle éclata d'un rire nerveux, secoua la tête. Elle plia la culotte, la rangea rapidement. 

Elle referma le vestiaire. Click. Le voyant passa au rouge. Elle tenta de le rouvrir. Refus. Puis... un bruit, plus fort. Click. 

La porte en face s'ouvrit lentement, de quelques centimètres. Elle sursauta, porta la main à sa poitrine. Sa respiration s'accéléra. 

Une oreille attentive elle perçu des sons lointains. Silencieux mais présents. Une musique à peine plus forte derrière la porte. Pas de lumière. 

Elle avança lentement. S'arrêta derrière la porte entrouverte. Écouta. Stressée. Curieuse. Elle perçut des voix, des souffles, des murmures... mais impossible de distinguer ce qu'il se passait. 

D'un pas léger, elle avança doucement, jeta un œil. Le couloir était plus large, quatre mètres peut-être. Des ouvertures sur les côtés. Des pièces ? Des hammams ? 

Elle avança, prête à reculer au moindre bruit. Une femme passa. Éline se recroquevilla derrière la porte, la tenant à peine du bout des doigts. La femme marchait lentement. Le peignoir entrouvert. Le corps nu. Éline aperçut sa poitrine. Son sexe. Épilée parfaitement. Élégante. Détendue. 

Éline sentit la chaleur monter en elle. Elle mordilla sa lèvre. Merde... est-ce qu'elle m'a vue ? Arrête Éline ! C'est juste un spa ! Au pire, tu dis que tu cherches les toilettes. Voilà. 

Elle hocha la tête, rassembla son courage, remit ses cheveux, prit son plus beau profil. 

Puis sortit lentement. Referma la porte derrière elle. Click. Fermée. Verrouillée. 

Plus moyen de revenir. 

Et son ventre vibrait d'excitation. 

Le voyage ne faisait que commencer...

- Fin de l'épisode-


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📅 Ce chapitre a été initialement publié le 9 avril pour les premières bêta-lectrices du projet.

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