Cette histoire est en fait un rêve que j'ai fait et je voulais l'écrire car je le trouve assez intéressant. En fin de compte, je voulais l'écrire aussi car je n'avais jamais fait ce genre de rêve, et ça m'a perturbé le matin quand je me suis réveillé. Bon, sur ce, je vous laisse découvrir mon chef-d'œuvre 🤣

En écriture normale, ce sont les paroles.
En gras, ce sont les pensées.

Nous sommes dans le monde moderne, les gens d'aujourd'hui sont des personnes normales, sans pouvoir spirituel, mais quelques exceptions se font chasser par des scientifiques... Les seules personnes à en avoir sont encore les descendants des grandes sectes spirituelles, mais bien sûr, pour le bien d'autrui, ils le cachent.

Jiang Cheng :

– Wei Wuxian, un appel pour toi, c'est le maire !

Wei Wuxian :
– Oh non, pas ce pervers, s'il vous plaît !

Wei Wuxian :
– J'arrive !

En ce jour, le maire a demandé de faire le tour du petit village où ils habitaient pour allumer les bougies. Et si Wei Ying ne fait pas les tâches pour ce foutu maire, il va se retrouver entraîné par des scientifiques. Alors, il les fait. Lui et Jiang Cheng font alors le tour, tandis que Wei fait apparaître des flammes qui embrasent les mèches des bougies d'un claquement de doigts. Heureusement, même s'il n'en a pas l'air, Wei Ying s'amuse comme un fou. Pendant ce temps, quelques paires d'yeux les fixent avec curiosité.

Jiang Cheng :
– Wei Wuxian, fais attention si quelqu'un te découvre, on sera en grand danger.

Wei Wuxian :
– Ne t'inquiète pas, je fais attention à bien me mettre devant pour pas que les passants me voient.

Mais ce qu'ils ne remarquent pas, c'est qu'une certaine personne les observait depuis le début. Ils poursuivirent néanmoins leur tour tout en exécutant la tâche que le maire avait confiée à Wei.

Enfin, ils arrivèrent en haut du village, où se passait une petite fête. Tout le monde était rassemblé, tous déguisés et un verre à la main. Ce qui, évidemment, plut à Wei Wuxian, adepte de l'alcool depuis un long moment déjà.

Wei Wuxian :
– Jiang Cheng, va t'amuser, je vais finir le boulot. Je te rejoins après.

Jiang Cheng :
– Ok, je t'attends, dépêche-toi.

Wei Ying se dirigea alors vers les dernières lanternes jusqu'à ce que Jiang Cheng entende une voix familière.

Jiang Cheng :
– Oh non, pas lui !

??? :
– Bonsoir, mesdames et messieurs, je voudrais juste relever un fait étrange en ce jour de fête : les bougies qui étaient encore éteintes ce matin ont toutes été allumées, vous affirmez ?

Les gens hochèrent la tête et se regardèrent entre eux.

??? :
– Eh bien, je sais qui est le coupable derrière ces faits.

Sur le front de Jiang Cheng, une goutte de sueur apparut.
Wei, encore grand sourire aux lèvres, allait finir avec la dernière bougie quand une main le fit se retourner.
Il perdit immédiatement le sourire. L'homme qui était devant lui était Xue Yang, l'homme qui voulait sa mort !

Xue Yang :
– Le voici, Wei Wuxian !

Wei Wuxian :
– Merde, merde, merde, que puis-je faire !

Tandis que Wei Wuxian réfléchissait, un homme tout de blanc vêtu qui ressortait de la foule parla.

Lan Zhan :
– Qu'y a-t-il d'étrange à allumer des bougies ?

Homme quelconque :
– Il a raison, qu'est-ce qu'il y a de bizarre à allumer les bougies ?

Xue Yang :
– Il les a allumées sans allumette, ni briquet.

Gens quelconques :
– ????!!!!

Xue Yang : 

- Mais comment les a-t-il allumés, me direz-vous ? La réponse est plus qu’évidente : avec la magie !

Les personnes présentes étaient troublées ; ils y réfléchissaient et se dirent que les propos de Xue Yang n’étaient pas faux, certains ayant été témoins de la scène un peu plus tôt.

L'homme tout de blanc vêtu était "un ami" de Wei, il le regarda et Wei Ying lui fit signe.

Lan Zhan :
– Ce n'est rien de bien méchant, puis je pense que beaucoup de personnes ici savent le faire.

Lan Zhan regarda la foule, Jiang Cheng s'avança fièrement suivi de près par Nie Huaisang, lui caché derrière son éventail, puis de Jin Ling et bien d'autres encore.
Xue Yang en resta bouche bée et la fête reprit de plus belle. Mais l’homme vêtu tout de noir et de rouge s'approcha de l'homme vêtu de blanc.

Wei Wuxian :

– Merci Lan Wangji, je t'en dois une.
Wei Ying sourit, Lan Wangji était amoureux de ce jeune homme, et ce sourire le faisait particulièrement fondre.

Lan Zhan :
– Wei Ying, allons quelque part où il y a moins de monde, s'il te plaît.

Wei Wuxian :
– Bien sûr ! Viens, je sais où on peut aller !

Ils se dirigèrent vers l'endroit où le village offrait un magnifique panorama. On voyait qu'ils étaient attirés l'un vers l'autre, et très rapidement, Wei Wuxian se retrouva les deux mains autour du cou de Lan Zhan.

Lan Zhan, gêné par ce rapprochement soudain, essaya de s'extirper des bras du jeune homme, mais Wei, même s'il était plus petit que Lan Zhan, avait beaucoup de force.
Leurs lèvres se rapprochèrent.

Depuis le temps qu'ils attendaient ça tous les deux, ils s'embrassèrent avec beaucoup de tendresse et de passion ; le plus grand, les mains sur les hanches de Wei, et le plus petit, toujours les bras derrière la nuque du second maître Lan.
Ils restèrent ainsi, comme s'ils étaient seuls au monde, pendant un bon moment...

Voilà ceci sera un one shot j'espère que ça va plaire 😊j'espère aussi qu'il n'y a pas que moi qui fait ce genre de rêve 😅