Je dédis ce recueil à toutes ces âmes souffrantes
Chapitre 1 : D’un souffle à l’autre
Amour éloigné
À travers cet écran, tu es présent.
Mais ton absence reste si encombrante
Que mes mains me brûlent du vide laissé.
Je veux pouvoir te toucher,
Sentir ta peau contre la mienne.
J'aimerais apaiser mes peines au creux de ton étreinte.
Je voudrais t'enlacer aussi souvent que je le pourrai,
Car ce serait, tout simplement, la paix.
Et chaque nuit, ton silence est insupportable.
Pour combler ton absence, je discute avec le souvenir que j'ai de toi.
Pour combler ce vide immense,
Je ferme les yeux et t'imagine auprès de moi.
Ton sourire et ton rire résonnent dans ma mémoire
Comme une douce lumière dans le noir.
Et mes lèvres s'étirent doucement, t'imaginant
À mes côtés.
Un jour, ce rêve cessera de n'être qu'illusion.
L'éclat d'un regard
Je croise ton regard. Le temps s'arrête,
Pendant un instant.
Une étincelle s'illumine sous ta prunelle.
Les mots se taisent. Nos souffles s'entremêlent.
Le monde s'efface. Il ne reste que nous,
Il ne reste que ce moment rempli de tendresse.
C'est une véritable délicatesse.
Mon cœur hésite, vacille,
Et pourtant, je n'ai jamais été aussi sûre :
C'est toi, et seulement toi, que je veux.
L'océan de nos âmes
L'amour, on en rêve depuis petit,
Un voyage qui brille et nous ravit.
Artifice vibrant, il inonde mon cœur,
En tissant un fil d'éclat dans mes instants de bonheur.
On dit que l'amour est un doux cadeau,
Où l'on se découvre dans l'écrin d'un halo.
Comme un océan qui s'étend à l'infini,
L'amour nous berce et apaise nos nuits.
Dans cette danse où nos âmes semblent liées,
L'amour nous emporte dans un souffle uni,
Nos cœurs à jamais enlacés.
Souffle du passé
Riant comme une enfant
Je passe un bon moment
La tête posée sur ton épaule, je souris.
Nos précieux rires
Résonnant dans ce vaste champs,
Doux échos de nos éclats de joie.
Faisant revivre ce simple souvenir appartenant à notre enfance
Gravé à jamais dans nos mémoires.
Éclairant nos visages, le soleil couchant reflète cet instant de magie .
En ouvrant les paupières,
Je réalise alors que tu n’es présente que dans ma mémoire.
Ton souvenir, comme ce coucher de soleil, s’efface peu à peu ne laissant que la lumière
fragile d’un instant passé.
Peu à peu, nos rires se brisent en sanglots, Laissant place aux larmes.
Je t’aime.