Mon réveil sonne à 7h, je me lève et vais me débarbouiller le visage dans la salle de bain. Olivia est déjà debout et m’a laissé un mot disant qu’elle était à la cafétéria.
- Salut tout le monde. Dis-je en arrivant.
- Salut Lya. Bien dormi ? Demande Olivia.
- Etonnamment oui, j’ai bien dormi.
- Alors toi et Zack hein ? Questionne Pierrick.
- Apparemment, mais cela ne regarde que nous.
- C’était couru d’avance, vue comment il te dévorer des yeux. Dit Luc.
On était tous en train de rire d’une blague de Liam. Quand Nelly arrive suivi de Gwen et d’une autre meuf prénommé Camille.
- Je sens les ennuis arrivés, Nelly et ça bande se débarque ! Chuchote Tony.
Elle se dirige vers moi furibonde.
- Je vais te le faire regretter pétasse !
Je me lève en douceur et la toise.
- C’est qui que tu traites de pétasse ? La jalousie ne te vas pas au teint Nelly.
- Toi ! Tu m’a volé mon homme. Puff jalouse de toi ? Jamais ! crache-t-elle.
- Ce n’étais pas ton homme. Ce n’est pas parce que votre histoire n’a pas fonctionné qu’il était ton « homme ». Maintenant dégage et fou moi la paix.
- C’est ce qu’on verra ! Venez les filles ont ce casse d’ici.
Après le petit déjeuner, je me dirige vers le gymnase, j’avais besoin de me défouler. Quand je franchi la porte Mr Zocard est déjà là.
- Vous êtes en avance, Mademoiselle… ?
- Je m’appelle Lya Bauwaule. J’ai juste besoin de me défouler un peu avant le cours. C’est possible ?
- Echauffe toi, je vais voir ce que je peux faire.
Après quelques tours de terrains, montées de genoux, pas de côtés et talons-fesses le tour est joué.
- Je suis prête Monsieur.
- Très bien, montre-moi ce que tu sais faire jeune padawan. Attaque-moi.
Je souris de sa comparaison. Je suis maintenant en position de garde. L’instructeur face à moi nous nous regardons en chiens de faïence. Je lui envoie un coup de pied qu’il arrête facilement. Du coin de l’œil, je vois les autre arrivé et commencer à s’échauffé mais je reste concentré sur mon combat. Pendant ce temps Mr Zocard pare tous mes coups. Vient son tour de m’attaquer, je part ses coups mais quand il accélère la cadence ça devient compliqué. Sa vitesse augment crescendo et la force de frappe aussi. Je commence à avoir du mal à suivre. Il va tellement vite que je le vois flouté. Je me prends un coup de pied en plein dans mon estomac. Son coup tellement puissant qu’il m’envoie trois mètres plus loin. Je me retrouve au sol, pliée en deux, essayant de reprendre mon souffle. L’instructeur s’approche de moi, me tend la main pour me relever.
- Tu t’es très bien défendu pour une novice. Personne na jamais tenu aussi longtemps face a mes attaque. Va boire un coup et après je commence le cours.
Après avoir assouvis ma soif, je reviens sur les tapis qui recouvre tout le sol du gymnase.
- Merci, Mademoiselle Bauwaule, c’était un beau combat. Vous avez suivi des cours ?
- Oui Monsieur.
- Bien au moins, je n’aurai rien à vous apprendre et dans ce cas vous m’aiderai en cours, si vous le voulez bien.
- Avec plaisir Monsieur.
Nous sommes interrompus par tous mes camarades qui m’applaudissent, j’ai zappé qu’il étaient là. Tony s’approche de moi et me dit ;
- Toi il vaut mieux t’avoir en ami. Il me fait un clin d’œil et rigole.
- Bon sa suffit tout le monde. Continuez à vous échauffer !
- Mademoiselle Bauwaule au sac de frappe. Faites-moi deux séries de coup de pied et deux série de coup de poing.
A la fin de l’échauffement nous nous répartissons par groupe de deux pour s’entrainer.
- Tu te met avec moi ma douce ? me demande Zack.
- Tu veux encore manger le sol Zack ?
- Ça c’est parce que je me suis laisser faire.
Nous nous mettons face à face sur le tapis et commençons a tourné en rond. Zack me regarde avec un aire de défit et un sourire en coin.
- Alors comme ça tu te laisses faire ?
- Evidement ! Attaque-moi tu verras bien. Me défit-il.
- Ok tu l’aura voulu.
Nous faisons quelques cercles, afin de nous évaluer. Le suspense s’installe. Je passe à l’attaque, mon premier coup il la pare aisément. Tout le monde autour de nous, s’arrêtent pour nous regarder. Je lance une feinte sur la droite mais attaque à gauche. Je me laisse attraper, mon dos contre son torse et son bras sous ma gorge. Je sens son corps chaud contre le mien, mon cœur s’emballe. Mais je ne me laisse pas déstabilisée. Je glisse ma main au niveau de son poignet et attrape son pouce que je tords tout en lui réalisant une clé au bras, viens passer mon pied derrière le sien pour effectuer un croche patte.
- Te voilà encore à terre. Tu vas me dire que c’était fait exprès ?
Je me suis mise à califourchon sur lui. Il me sourit, me fait un clin d’œil et bascule les hanches, il se retrouve sur moi. Bloque mes bras de part et d’autre de ma tête et ses jambes coince les miennes.
- Et maintenant ? Me demande-t-il tout sourire.
- Je pourrai facilement me dégager tu sais ! Mais je n’en ai peut-être pas envie. Dis-je d’un sourire enjoleur.
Du coin de l’œil, je vois Nelly nous foncé dessus furieuse. Elle pousse Zack et m’attaque, une vrai folle. Je réussis à me dégager et lui envoie un coup de pied à l’abdomen. Elle se retrouve sur les fesses au sol. Elle se relève d’un bon et vocifère.
- Sale pétasse de traite, dégage d’ici ou je vais te tuer. Personne ne veux de toi. Tu aurai mieux fait de crevé avec tes parents.
Je sens une colère m’envahir, mes mains tremble, je ne contrôle plus mon corps. Mes ailes sortent sans que je leur demande. J’attrape Nelly par la nuque et la traine dehors et la relâche brusquement puis je recule. Mes mains commence à irradier. J’essaie de stopper la magie qui afflue dans mes mains, j’ai du mal à la contrôler. Nelly me fonce dessus et m’envoie un coup de poing dans l’épaule. Je suis tellement concentrée à canaliser mon pouvoir pour ne pas blesser les autres autour qui nous regarde que je ne l’arrête pas alors qu’elle se déchaine sur moi à coup de poing. Debout face à elle, j’encaisse ses coups sans bronchées. Je suis concentré sur mon pouvoir. J’essaie de maintenir mon feu à l’intérieur de moi. Je le sens qui crépite, qui coulent dans mes veines comme de la lave, sauf que celle-ci ne doit pas entrée en fusion. Ma mâchoire se contracte, mes poings se serrent, et des gouttes de sueur coulent de mon front et dans mon dos. Je remarque que j’ai la lèvre fendu car j’ai le gout ferreux du sang dans la bouche.
- Monsieur, il faudrait peut-être les arrêter, elle vont s’entre tuée. Fait remarquer Luc un peu plus loin.
L’instructeur s’approche de nous, attrape le poing de Nelly sur le point de s’abattre une fois de plus sur moi et la fait reculer pour ce positionné entre nous. J’inspire et expire pour me calmé et petit à petit le volcan se calme.
- Mademoiselle Oratte, vous ferez une série de 50 pompes et la prochaine fois que vous faites interrompre mon cours pour une histoire de cœur, vous serez viré. Il n’y aura pas d’autre avertissement. Est-ce bien compris ?
- Oui monsieur ! chuchote-t-elle.
- Je n’ai rien entendu mademoiselle Oratte !
- OUI monsieur, rugit-elle.
Elle me jette un regard qui en dit long. Je l’ignore quand elle passe devant moi et me cogne l’épaule pour rejoindre ses copines.
- Mademoiselle Bauwaule, venez me voir à la fin du cours.
- Oui monsieur.
1 h 30 plus tard, je rejoins Mr Zocard, dans son bureau près de l’entrée du gymnase. Il est 11h45 et j’espère avoir le temps de manger nous reprenons les cours à 13h avec le maniement des armes.
- Je voulais vous voir, pour vous féliciter. Très peu de personne aurai pu garder leur self control. Surtout que vous étiez au bord de franchir une limite. J’ai bien vus que Mademoiselle Oratte vous cherche depuis le début, que ce soit dans les couloirs, la cafétéria ou bien même à la cascade. Je vous ai vus garder le contrôle. J’ai déjà vus des jeunes se cherché mais très peu ont su se contrôler. Maintenant, allez manger et quand vous aurez besoin de vous défouler n’hésiter surtout pas à venir ici, la salle reste ouverte. Bonne journée mademoiselle Bauwaule à demain.
- Merci, j’étais à deux doigts de pas me métrisé. Garder le contrôle à était difficile.
- Mais vous l’avez fait ! Allez manger maintenant.
- Oui Monsieur.
Sur la route pour rejoindre mes amis, j’ai le pressentiment que Nelly reviendra à la charge dans les jours qui viennent. Quand j’arrive à la cafétéria, il y a du monde. Heureusement Olivia m’a gardé une place à côté d’elle et Zack. J’arrive avec mon plateau, aujourd’hui c’est spaghettis bolognaise. (Mmmhhh j’adore)
- Alors que te voulais Mr Zocard ? Me questionne Liam.
- Il voulait me féliciter de mon self contrôle. Très peu de première année garde le contrôle. Réponds-je.
- Et bin dit donc, moi j’ai vraiment cru que tu allais lui mettre le feu. Renchéri Luc avec un sourire.
- A vrai dire moi aussi je l’ai cru. Mais quand je… j’ai vus que vous étiez tous là, j’ai vue de la peur dans vos regards. Et je ne voulais pas risquer de vous faire du mal. Je… je ne veux pas devenir un monstre.
Zack se tourne vers moi, prends ma main dans la sienne. Et me transperce de ses yeux d’acier.
- Tu n’es pas un monstre, rien de maléfique en toi. Fais-moi confiance. Mr Zocard à raison, beaucoup ont déjà perdu le contrôle face à des situations dans le même genre et beaucoup en sont mort.
Il pose son autre main sur ma joue, son pouce caresse ma lèvre inférieure.
- Moi-même, j’étais à deux doigt de perdre le contrôle quand elle t’a sauté dessus… elle n’aurait pas dû te parler comme elle la fait. Heureusement que Pierrick et Luc m’ont retenu.
Il pose son front contre le mien et me chuchote,
- Je suis content que tu sois la, avec nous tous, que tu sois toi ! Ma douce.
Mon cœur bats la chamade, ses yeux sont fixés sur mes lèvres, comme s’il avait envie de les gouter. Je pose ma main sur son torse, me penche en avant et l’embrasse. A la seconde où mes lèvres touches les siennes, il les ouvres, approfondissant le baiser. Une vague de plaisir se répand dans mon corps et des papillons se mettent à danser dans mon ventre. Alors que sa langue chaude caresse la mienne, sa main se glisse le long de mon cou et de mon bras, avant de se poser sur ma taille. Je gémis de plaisir, nous sommes seuls dans notre bulle. Le baiser est épique, dévorant mais se termine bien trop vite. Toute notre table sifflent et nous applaudissent. Je m’écarte de lui et me redresse. Le rouge aux joues.
- Vous n’avez rien d’autre à faire ? Rugit Zack.
- En même temps, en voyant un tel spectacle on ne peut qu’applaudir. Rigole Liam.
Je fini d’engloutir mon repas, les joues toujours écarlate et des papillons dans le ventre. La sonnerie retentit annonçant la fin du repas. La deuxième retenti 15 minutes après annonçant le début du prochain cours. Un homme d’une trentaine d’année entre dans le gymnase. Il doit mesurer environ 1 m 90, une balafre lui barre le visage, partant de son œil droit et finit au menton. Des yeux marron et un air sévère.
- Bonjour à tous, je me présente Mr Cory votre instructeur aux maniement des armes. Entrainement une heure à l’épée et une heure aux tire à l’arc.
*****
Nous sommes vendredi soir, enfin en week-end et de toute la semaine je n’ai pas recroiser Nelly misent à part en cours. Nous avons la possibilité de rentré chez nos parents où resté au bastion. Toutes la bande est rentrée chez eux. Zack devait récupérer des affaires chez Juliette mais revient demain. Je suis donc seule au bastion. J’enfile mon jogging pour aller courir au bord du lac près de la forêt. Même après la journée de cours, j’ai encore de l’énergie. L’air chaud de l’été, après avoir couru une bonne heure. Je me détends. Je m’installe tranquillement sur le ponton du lac à l’autre bout loin du bastion. Allonger tranquillement j’écoute les bruits environnant, les oiseaux chantent, le vent qui souffle et le clapotis de l’eau sur le ponton. Soudain, j’entends des pas qui se rapproche. Je me relève et me retrouve face à 5 hommes. Persuadé qu’il ne font pas parti du bastion vus leur allure, jean sale, tee shirt délavé et visage plein de crasse. Mais surtout leur ailes noir. Je fais un pas en arrière en les voyants s’approcher.
- Tien, tien qu’avons-nous là ? Une brebis égarée ! Chantonne l’homme au crâne chauve.
- Mmm et en plus elle as une odeur appétissante ! Dit le deuxième.
- Qui êtes-vous ? Et que me voulez-vous ? Dis-je, en essayant de ne pas montrer mon angoisse qui monte.
- Toujours les même question ! Dit le troisième.
- Qui êtes-vous ? Répéta le premier.
- Que voulez-vous ? Renchéri le deuxième
Question originalité ils n’étaient pas douée. Réplique type d’un certain film.
- Vous avez surement un peu trop abuser du film Twilight, ou alors vos réplique craigne un max question originalité.
- Gna, gna, gna, tais-toi ! On dit ce que l’on veut. Nous sommes les déchus. Lança le quatrième.
- Et nous faisons ce que bon nous semble. Termina le cinquième.
- Aujourd’hui, nous avons envie de jouer. Avoua le troisième.
- Okay, donc après vos réplique pourri, maintenant l’intimidation. Et après ce sera quoi ? L’attaque ? Ripostai-je.
Dans ma tête, j’évaluai mes chance de m’évader. Cinq individus face à moi et le lac derrière. Mes chances pour atteindre l’autre bout du lac et rentrée au bastion sont minime mais il faut bien que je tente le tout pour le tout et pour cela si je devais me batte, je le ferais.
- Arrête de te torturer l’esprit, petite brebis tu ne nous échappera pas. M’informe le type chauve numéro trois.
Ils se rapproche tous d’un même pas, leur ailes déployer ne laisse aucune possibilité de passer. Le seul endroit où je peux m’échapper est le lac.
- Vous n’êtes vraiment pas fairplay, cinq contre un. Qui plus est une fille. Tellement facile de jouer les dures dans ce cas-là. Enonçai-je.
- Nous ne faisons pas dans le facile. Nous jouons selon nos règles. M’annonce le quatrième.
- Qui d’entre vous est le chef ? Je demande.
- Pas de chef ! Répond le deuxième.
Sans prévenir, le chauve, que j’ai surnommé numéro trois, me fonce dessus me balance son point dans la figure mais je l’esquive au dernier moment et le pousse à l’eau. Si j’arrive à les éliminer un par un, je pourrai courir ou voler jusqu’au bastion. Puis deux autres me chargent. Les yeux pleins de haines. J’esquive leur coups et réussit à les mettre KO, au moment où le troisième tombe les deux dernier me foncent dessus. J’esquive le premier coup mais je ne vois pas arrivé le pied dans mon dos. Je tombe et me cogne la tête sur une poutre du ponton. J’entends les voix autour de moi.
- Maintenant qu’elle est KO on peut la ramener à l’endroit indiqué et la livrer à ceux qui ont fait appel à nous.
- Attachons là, avant qu’elle ne se réveille.
Oh non, je me laisserai pas faire. Mon mode de survie ce déclenche. Serrant les dents, je me relève et puise dans mon pouvoir, je le sens couler dans mes veine. L’adrénaline remonter a bloque. Mon pouvoir jaillit comme le jour de l’éveil. Je suis littéralement devenu une torche humaine. Les déchus face à moi reculent.
- Maintenant vous allez me dire qui vous envoi ? Sinon je vous fait rôtir.
- Et tu crois nous faire peur avec tes flammèches ?
- C’est ce qu’on verra !
Je fonce dans le tas comme on dit, tout en projetant mes flammes vers eux. Celui qui tapait discute avec moi fut touché en plein thorax et pris feu. Il courut et plongea dans le lac. Plus qu’un et je serai tranquille. Le dernier se met en garde face à moi. Je rappel mon pouvoir et le laisse attaquer. Il fonce droit devant, je l’esquive et lui envoie un coup de pied au fesse. Il grogne ce retourne et me fait face. Il racle le sol comme un taureau, qui va charger. Au moment où il arrive sur moi je me déporte sur la gauche. Plouf à l’eau le trou du cul ! Je me met à courir en direction du bastion. Vingt minutes est le temps qu’il me faut pour y arriver. Je me met à la recherche d’un responsable. Personnes.
- Zut ! Mais personne ne bosse dans ce foutu bastion le week-end.
J’arrive à l’administration, personne derrière le comptoir de l’accueil. Je me dirige sur la droite, les portes sont ouvertes et personne dans les bureaux.
- Et oh ! Il y a quelqu’un dans ce bastion ?
J’arrive devant une porte fermé, je toque pas de réponse alors j’appuie sur la poignée et ouvre. Un homme d’une trentaine d’années et assit derrière son bureau, concentré sur son ordinateur. Je m’éclairci la voie.
- Excusez-moi Monsieur. Désoler de vous déranger mais…
Il lève sa main pour m’interrompre sans lever les yeux sur ce qu’il est en train de faire.
- Un instant s’il vous plait.
Après plusieurs minutes d’attente je commence à m’impatienter.
- Je viens de me faire agresser par des déchus et vous vous me faites perdre mon temps. Ils pourraient être sur le bastion au moment où je vous parle.
Au mot déchus il a relevé la tête et me regarde ahuri.
- Impossible, les déchus ne peuvent venir ici.
- J’étais au bord du lac quand ils m’ont agressé. Donc je vous confirme, qu’ils peuvent venir ici. Ils sont peut-être déjà là.
- Je vois. Suivez-moi, Mademoiselle … ?
- Lya Bauwaule, Monsieur.
- Bien, venez avec moi Lya. Vous faites partie des nouveau arrivé il y a une semaine ?
- Oui Monsieur.
- Comment se fait-il que vous soyez ici alors que tous les élus sont rentrés chez eux.
- Je suis arrivée sur l’île il y a 3 semaines, je n’ai pas de familles ici.
- Oh, je ne savais pas je suis désolé.
Nous nous dirigeons dehors, passons près de la cafétaria et entrons dans le gymnase. Monsieur Zocard et Monsieur Cory sont là en train de s’entrainer.
- Messieurs nous avons un problème. Dit l’homme près de moi.
- Quel est-il Monsieur Nicort. Interroge l’instructeur aux combats.
- Des déchus on essayer de m’enlever. Déclarai-je.
- Quand ça ? Comment ? Demande Mr Cory.
- Il y a 30 minutes de cela. Je suis allé courir jusqu’au lac. Je m’étais installer sur le ponton et 5 hommes sont arrivaient de nulle part. J’ai réussi à les mettre KO et suis revenu en courant. Ils pourraient être ici ou encore là-bas je ne sais pas.
- Très bien merci Lya. Nous allons vérifier s’ils sont encore là. Et nous allons devoir renforcer la sécurité du bastion. Cela n’aurai jamais dû arriver.
En même pas 5 minutes, tout un bataillon est sur place et ratisse le bastion au peigne fin. Mr Cory revient vers moi et m’annonce que les déchus ne sont plus là.
- Lya, je vais laisser quelques hommes prêt du bâtiment des élus mais reste quand même sur tes gardes. Si tu vois le moindre signe suspect appel moi. Tien voilà mon numéro de téléphone. A l’avenir si tu peux éviter de rester seule ici, se serai bien. Je vais mener mon enquête avec mon équipe.
- Merci Mr. Pourrez-vous me tenir au courant de l’avancer. Je pense qu’il en avait après moi.