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Je manquais de tout, pourtant je ne rêvais de rien
Car la vie qui m'était donnée, n'était qu'un présent des lendemains.
Cette destinée qui m'a longtemps oppressée
Est désormais l'oiseau, de ma liberté.
Je méprisais les vices, de ces gens qui vivent dans l'or
Dehors, je contemplais l'atmosphère livide de mon chagrin
Ce liquide noirâtre qui coulait de mes mains
Et putréfiait mon âme, gisant sous mille rancoeurs
À l'extérieur, fleurissaient les idées de mes pensées
Telles des malédictions, des illusions de mes jours heureux
Car une fois produites, elles devenaient le passé
Sombrant ainsi dans l'abîme, de mes désirs songeux