À l'ombre d'un vieux chêne
Que mon coeur, mon cœur a de la peine
Il se fane et se ferme en un instant
Attendant les bourgeons, pour s'ouvrir au printemps
Au coucher du soleil
Mes yeux s'émerveillent
Admirant avec passion
Les étoiles et leurs constellations.
Le ciel brillant de mille feux
Des larmes apparaissent dans mes yeux
La galaxie a beau être fort lointaine
Elle semble aussi proche que moi et ma peine
Le printemps est enfin arrivé, douce saison,
Où la nature s'éveille en une explosion.
Les fleurs éclosent, égayant les jardins,
Leurs couleurs éclatantes, éliminent mon chagrin.
Les oiseaux chantent, remplissant l'air,
De mélodies légères, d'un chant sincère.
La tristesse s'évapore, laissant place au soleil
Les larmes , elles, sombrent dans un profond sommeil