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Prologue- Un choix

<Quartier général d'Interpol, Washington D.C. 15 avril 2025 - 10h43 AM. Le soleil inondait les couloirs de lumière, mais rien n'illuminait mon cœur qui s'apprêtais à choisir entre l'ordre et le chaos... Entre Conscience et Amour.


Tic...tac... L'horloge ne cessa de tourner ce qui me rendait encore plus nerveuse. Mes mains posées sur mes jambes ne cessaient de trembler. Les battements excessifs de mon cœur résonnaient contre ma poitrine et mes tempes. Elles me cognaient assez fort pour me faire savoir que ma nervosité était à son comble. Mes yeux rivés sur le carrelage terne qui grinçait à chaque instant. Elle était éclairé par les faibles lueurs de lumière qui s'infiltraient par la fenêtre. Le bureau assez vieux me donnait l'impression d'avoir fauté. L'odeur qui s'en échappait se rapprochait de la poussière de plusieurs documents entassés les uns sur les autres.

En face de moi, je senti le regard de mon supérieur qui me scrutait. De ces deux radars qui me donnait l'impression d'avoir été mis à nue devant lui. Il me jugeait, il me maudissait, il me regardait. J'entendis le bruit d'un dossier poser sur la table. 

-Irina... Me dit il d'une voix posée, presque froide, presque...reprochable.

Je savais déjà que rien de bon ne suivrait ce ton. Je le connaissais trop bien. Et pourtant... bien que je m'étais pas préparée pour ce moment je restais pétrifiée.

Je levai mes yeux pour le regarder dans les siens. Mon regard glissa sur ses mains, puis sur le dossier.

-Dis moi ce que tu choisis... Les mots étaient sortie de sa bouche. 

Le moment de vérité était arrivé. Je devais choisir lui ou Interpol. Mon cœur n'avait qu'une seule place et mon choix venait d'être fait. 

Mes yeux se dirigeaient vers les siennes qui attendaient ma réponse.

-je.... 

Les mots restèrent coincés. Mon regard fixé sur le dossier, mes lèvres entrouvertes, mon souffle suspendu.

Je savais ce que je me devais de dire.

Mais je savais aussi ce que je voulais dire.

Le silence pesa lourd, oppressant. Il attendait.

Le monde entier semblait suspendu à mes lèvres.

Et moi... je me noyais.

Pas dans mes pensées.

Mais dans le poids d'un choix que même l'amour ne pouvait alléger.

Entre deux mondes auxquels j'appartenais :

Celui où je portais l'uniforme.

Et celui où je murmurais tendrement son prénom.

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