Alors que Judith et John quittèrent le bureau, Katherine attendue de longues minutes avant d'y entrer à son tour pour mettre en place les indices qu'elle alla leurs laisser sans que d'autre puisse tomber dessus. Il fallut qu'elle trouve un moyen pour que seul Judith puisse tomber dessus et déchiffrer son contenue.
Le lendemain matin un fracas se fit entendre dans toute la demeure. Survenant un silence assourdissant jusqu'à que Georges poussa un cri. Judith alla chercher Katherine et John pour vérifier ce qu'il se passa, la peur envahie leurs visages. Le bureau de l'ancien maître avait été vandaliser, un mot avait été laisser sur la porte de l'atelier en disant " Si vous ne me remettez pas la clef vous en paierez le prix ".
- Judith remettez la clef de l'atelier a la personne qui la demande sinon nous en paierons tous le prix exclama George.
- Je n'ai pas cette clef, elle n'était pas dans les affaires que mon père m'a laissé après son départ.
John avait le regard vide, il pensait à quelques choses et ils croisèrent le regard de Katherine comme si elle aussi avait tout compris. Tout le monde reparti à ces occupations pendant que la dame de la jeune femme et John rangèrent le désordre dans le bureau, en prenant soin de tout remettre à leurs places. Il ne parla pas, des regards s'échangèrent à chaque objet remis en place. Ils avaient leurs soupçons, un secret à garder et quelqu'un à protéger. Tout deux n'avaient plus rien à perdre mais quelqu'un à sauver. Le bureau à présent ranger John parti rejoindre sa famille tandis que Katherine resta seule dans ce bureau sachant que tôt ou tard il faudra faire découvrir la vérité a la demoiselle sans la mettre en danger.
Dans l'après-midi qui suivit le bureau était ranger, le fracas nettoyer, les tensions redescendues.
Sandra alla rejoindre son compagnon dans leurs chambres et parlèrent pendant des heures et des heures. Tandis que John fit ce qu'il avait à faire sans oublier de surveiller ces parents qui d'après lui s'enfonçait dans les ténèbres. Katherine quant à elle fidèle à son poste fit ces tâches quotidiennes tout en pensant à comment elle allait mettre des pistes pour que seule Judith puisse les trouver. Puis la maîtresse de demeure toujours en train de s'entraîner comme elle en avait l'habitude avec son tendre père depuis qu'elle savait manier les armes. Mais elle n'arrivait pas à se concentrer au maximum avec ce qu'il c'était passée en début de matinée, comme si elle savait au font pourquoi sa ce produisait mais en même temps ne pas le savoir.
Le soleil commença à tomber ce qui annonça la fin de la journée. Tous se rejoignit dans la grande salle pour manger, une personne manqua à l'appel. John n'était pas là et personne ne savait où il était passé.
- Où est John ? Demanda Judith
- Probablement en train de flâner dans le manoir. Dit Sandra
- Katherine peux-tu aller le chercher s'il-te-plaît ?
- Oui maîtresse, j'y vais de suite. Commencez à manger avant que ça refroidisse.
Katherine parti donc à la recherche du jeune homme dans la demeure, elle fouilla toutes les pièces mais aucune trace de lui. Elle fit demi-tour et alla chercher dans l'atelier de l'ancien maître des lieux. Quelques minutes plus tard elle arriva à l'atelier et le trouva en train de lire quelques choses poser sur le bureau.
- John ? Que fais-tu là ?
- Ho Katherine j'ai trouvé quelques choses sur le bureau mais je ne sais pas comment l'expliquer.
- De quoi s'agit-il ?
- Un papier a été laisser, je ne connais pas l'écriture mais c'est destinée à Judith.
- Que dit le papier ?
- Ça dit "Je sais que la clef est ici, donne-là moi ou il y aura des répercussions de plus je connais la cause de la mort de ton très chère père ".
- Il n'y a que toi et moi qui sachent ceci ou il y a quelqu'un d'autre ?
- Je ne sais pas, je pense que nous deux, car quand je suis allé dans le bureau j'ai vu que la porte était entre ouverte alors que ce matin elle était fermée après l'incident.
- N'en parle pas à Judith pour l'instant John, met le papier avec d'autres papier et laissons là tomber dessus quand le moment sera venu.
- Et pour la menace que fait-ont ?
- Rien justement, je pense que la personne mettra sa menace à exécution et concernant l'information qu'il a au sujet de son père je ne pense pas qu'elle soit vrai. Judith doit s'attendre à ce qu'une tempête s'abatte sur elle à un moment ou un autre. Elle n'a pas le choix.
Après cette découverte, Katherine demanda à John de venir dans la grande salle pour aller manger. Katherine savait que Judith devait lire ce message, peut-être que sa débloquerai quelques choses en elle et qu'elle pourra enfin découvrir sa destinée.
- John enfin tu es là, où était tu passer ?
- Je m'étais endormi et je n'avais pas vue l'heure passer, toute mes excuse Judith.
- Ce n'est rien John et merci Katherine d'être partie le chercher.
Le reste du repas se passa sans encombre, tous étaient silencieux comme si quelques choses d'imminent allaient se produire. John avait menti à Judith de là où il était exactement car il ne pouvait rien lui dire pour sa sécurité, sa devait être elle qui devra découvrir ce qu'il avait découvert lui aujourd'hui. Quant à Katherine elle mit son plan à exécution dans sa tête et le mettra en marche dès le lendemain matin.
Tout le monde partirent à leurs occupations respectives, tout le monde excepter Judith qui resta à table à réfléchir à l'événement de ce matin. Qui aurait pu faire ça ? Sans un bruit ? Et surtout pourquoi vouloir cette clef à tout prix ?
La jeune demoiselle partie ce coucher dans sa chambre en espérant que demain sera une meilleure journée.
Pendant la nuit, un silence des plus sombre baignait dans la demeure, tandis que Katherine se rendit dans l'atelier sans faire un seul bruit pour ne pas éveiller de soupçons. Elle avait pris avec elle les indices qu'elle devais laisser à la jeune femme pour qu'elle commence sa quête. Tout était en marche à présent, les indices, la facilité à les trouver, et la destinée de la jeune femme qui pouvait enfin commencer.
Le lendemain matin tout le monde descendirent prendre le petit déjeuner, faisant comme si rien ne s'était passer la veille pour éviter de nouveaux conflits. Judith repris son habitude et alla à la salle d'entraînement comme elle en avait l'habitude avant. Sandra et Georges partie en ville, tandis que John resta dans sa chambre. Katherine vaqua à ces occupations de domestiques en espérant que la jeune maîtresse de maison finisse par avoir un déclic.
John tourna en rond dans sa chambre pensant a ce qu'il avait découvert et il se mit à réfléchir à qui cela pouvais-t-il provenir sans se douter que le danger allait frapper tôt ou tard. Judith toujours a la salle d'entraînement se mis dans une bulle et ce mis a faire des mouvements d'épée tellement vite que les valets n'arrivaient pas à suivre. Quelques choses clochaient, ils n'avaient jamais vue leur maîtresse agir ainsi et ce demandais si quelques choses avait changer. Puis fis le moment ou Judith ce figea sur place, impossible pour elle de bouger.
- Maîtresse ? Tout va bien ?
- Je ne peux plus bouger, je ne comprends pas ce qu'il se passe.
- Rester calme madame, ça va aller. Je vais chercher quelqu'un.
- Faites vite s'il vous plaît.
Pendant que le valet alla chercher quelqu'un pour aider la jeune femme, Judith fit prise de souvenir. Souvenir qui la rendit toute pale, elle ne comprenait pas ce qu'il se passais et ni pourquoi. Sa ne lui était jamais arriver jusqu'à maintenant. Le valet trouva Katherine au manoir en train de vaquer a ces occupations.
- Khalipso que ce passe-t-il ? demanda Katherine
- C'est la jeune maîtresse, elle s'entraînait puis d'un coup elle s'est mis a faire des mouvements très rapide avec ces épées. Et d'un coup elle c'est figer mais elle peut parler.
- Vous l'avez laissée seule ? Dans cet état ?
- Oui Katherine, Pourquoi ?
- Pas le temps de t'expliquer, il faut qu'on aille auprès d'elle et vite.
Katherine et Khalipso le valet se rendirent aussitôt auprès de Judith qui était toujours figer à la salle d'entraînement. Entre temps elle avait palis et était devenus aussi blanc que la couleur. Ces yeux était devenue vide. John qui avait entendu la conversation dans le manoir accourue dans la salle d'entraînement sans savoir ce qu'il alla découvrir.
- Maîtresse ? Vous m'entendez ? C'est Katherine
Aucune réponse ne sortait de la bouche de Judith, elle ne pouvait plus parler, plus bouger. Elle était là mais son esprit ne l'était pas.
Judith était plongée dans ces souvenirs, souvenirs qu'elle ne ce souvenais pas. Il y avait sa mère et son père dans ces souvenirs, il était heureux mais sa mère avait le même regard, ce regard de peur qui la consumait petit à petit. Puis vin une voix familière qui lui vint aux oreilles. Son père et sa mère lui parlais.
- Papa ? Maman ? C'est bien vous ?
- Oui ma fille, c'est bien nous, il faut que tu sortes de ces souvenirs. Dit son père
- Tu es en danger ma chérie, sors d'ici. Dis sa mère
- De quel danger parler vous ? C'est juste des souvenirs. Comment pouvons nous parler dans ma tête ?
- Ont à pas le temps de t'expliquer, tu le sauras bientôt et tout deviendra clair a tes yeux. Dit son père et sa mère.
Le souvenir s'arrêta a ce moment-là. Judith repris des couleurs, puis pouvais a présent bouger et parler.
- Katherine, Khalipso, John que faites-vous la ?
- Maîtresse vous souvenez vous ce qu'il c'est passer ? demanda Katherine
- Je m'entraînais puis il c'est passer quelques choses d'inexplicable, je me suis mise a avoir des souvenirs de mes parents.
- Judith, tu étais paralysée, tu ne bougeais et ne parlais plus, ton regard était vide et tu étais pale. Dit John qui était encore paniquer de ce qu'il venait de voir.
- Ah bon ? Je me rappelle juste que je ne pouvais plus bouger et que Khalipso soit parti chercher quelqu'un pour m'aider.
Sur ces mots, Judith posa ces armes quelle avait encore entre les mains et ce posa dans un coin de la salle, John resta à ces coté. Tandis que Khalipso rangea la salle et que Katherine repris ces occupations. Tous avaient vu ce qu'il c'était passer, et tous se demanda ce qu'il c'était réellement passer. Pendant ce temps la Sandra et Georges rentrèrent de la ville, avec tellement de sac que Georges en était submergé.
Judith pensa au souvenir qu'elle avait eu et ce demanda comment ce faisais t'il qu'elle ai pu parler à ces parents décéder via un souvenir. John quant à lui, la regarda sans un mot attendant que la jeune femme parle d'elle-même.
- John, je vais avoir besoins de toi.
- Oui pas de soucis.
- Ont vas au bureau de mon père.
John et Judith se rendirent au bureau du défunt maître. Judith en cherchant quelques choses mais sans savoir quoi exactement tombèrent sur le mot laisser par le ravisseur.
- Mais qu'est-ce que c'est ?
- Qui y a-t-il Judith ?
- Ce mot, c'est la même écriture qu'il y avait aussi sur le mot de la dernière fois.
- Que dit ce mot ?
- « Je sais que la clef est ici, donne-là moi ou il y aura des répercussions de plus je connais la cause de la mort de ton très chère père »
- Ce pourrait-il que cette personne connaisse la raison du décès de mon père ?
- Judith, ne crois personne, cet individu veut récupérer la clef pour une raison qu'on ignore. Sa ce trouve il ne connaît pas la raison.
- Mais John... Je ne sais même pas ou est cette clef et je veux connaître la raison du décès de mon père. J'ai besoins de savoir.
Sur ces mots, Judith garda le mot qu'elle avait trouvé. Beaucoup de choses c'était passer aujourd'hui. John et Judith partis dans la salle à manger pour dîner avec le reste de la famille.
Le repas se passa avec de bref échange entre Sandra et Judith. Et ils partirent tous se coucher sauf Judith qui se rendit au bureau de son père. En s'asseyant sur le fauteuil de son père elle trouva quelques choses. Une serrure dissimulée sous le bureau. Mais pas de clef, y aurait-il d'autre serrure dissimulée dans la pièce ? Elle se posa encore plus de questions qu'avant. Que pouvait-il contenir ?
Sur tout ces questionnement Judith partis se coucher à son tour.
Tandis que tout le monde dormait au manoir. Judith se mit à rêver de sa tendre aimée mère, elle s'est sentie comprise, aimée mais surtout protéger. Dans son rêve, elle fut appelée par une voix familière qui disait « Met toi à l'abri, réveille-toi ». John essaya de la réveiller, la jeune femme se réveilla en sursaut et en toussant fortement. Il y avait le feu, il fallait maintenant trouver une issue et tous sortir en sécurité du manoir. Pendant le rêve qu'elle avait fait sa mère lui avait remis un pendentif qu'elle trouva autour de son cou au réveil dans les flammes qui consumait le manoir.
- John que se passe-t-il ? Demanda Judith paniquée
- Je ne sais pas, je me suis réveillée et il y avait de la fumée partout. Je suis donc aller réveiller mes parents, toi et les domestiques.
- Par ou vas t'on sortir, il y a tellement de fumée...
- Ont vas trouver, viens avec moi il faut qu'on trouve les autres.
Judith suivie John dans les flammes à la recherche de tout le monde. Le feu prenait de l'ampleur. Katherine et Khalipso s'était réfugier dans le hall incapable de bouger, il avait respiré trop de fumer. Sandra et Georges était bloquer encore dans leur chambre. John partis chercher ces parents à l'étage tandis que Judith essaya de faire sortir le valet et Katherine du hall, les flammes lui brûlèrent la peau. Elle les fit sortir un a un et ne voyant pas John sortir elle repartit le chercher.
- Khalipso appelle les secours vite. Dis Katherine
- Je vais les appeler, ne bouge pas.
Khalipso appela donc les secours qui arriva sur place en quelques minutes a peine. John, Sandra, Georges et Judith n'était toujours pas sortie. L'inquiétude pesa à l'extérieur du manoir, Sandra et son mari sortirent de la demeure accompagner de John.
- Ou est Judith ? Demanda Katherine
- Comment ça ? Elle était dans le hall avec vous la dernière fois que je l'ai vue
- Oui elle nous a aider à sortir avec Khalipso mais ne vous voyant pas revenir elle est partie vous chercher mais n'ai pas encore sorti.
- Je vais la chercher !
Les secours l'en empêche avant qu'il ne retourne à l'intérieur.
- Jeune homme laisser nous faire, C'est Judith Ilioci qui est toujours à l'intérieur ? demanda les secours.
- Oui c'est bien elle, ramener là s'il vous plaît.
Les secours se mirent en route pour braver les flammes et retrouver la jeune femme. Ils fouillèrent toute la demeure mais ne la trouvais pas. Ils ouvrèrent une porte qui menait au bureau de son père puis la vis sous le bureau en bois, elle avait perdu connaissance et ne respirai plus. Ils décidèrent de lui mettre un masque d'oxygènes et de la couvrir pour pas empirer ces blessures causées par le feu.
Les secours sortirent du manoir avec Judith dans les bras, pendant que d'autre secouriste éteignait le feu.
- Judith !! Cria Katherine et John
- Ont vas s'occuper d'elle, éloigner vous s'il vous plaît.
- John... Judith ne respire plus. Dis Katherine
- Ou était-elle Monsieur ?
- Ont la trouver sous un bureau en bois, elle était inconsciente, ne respirait plus et couverte de brûlure du aux flammes. Ont vas la sauver.
Les secouristes essayèrent pendant plusieurs minutes de refaire battre le cœur de la maîtresse de maison mais en vain, des battements se lançais et s'arrêta aussitôt.
Pendant ce temps-là Judith était plonger dans son âme et ce rendit compte qu'elle avait découvert ou ce cachait la clef qui ouvrais le bureau et peut être aussi la clef qui ouvrais l'atelier de son père. Elle alla enfin comprendre pourquoi le ravisseur souhaitais cette clef a tout prix. Elle revint a elle brusquement et repris son souffle.
- Judith tu es en vie ! dis Katherine en sanglot
- Oui tout va bien et merci Katherine.
- Merci de quoi Madame ?
- De m'avoir guidé pour trouver des réponses.
La police arriva prendre les dépositions de chacun et menais une enquête pour trouver la cause de l'incendie. Tout le monde était sain et sauf. Il restait plus qua trouver qui avait lancé l'incendie et pourquoi. D'après la police c'était volontaire. Le manoir devait être totalement rénover, la bâtisse avait du mal à tenir encore debout. Le feu avait tout ravager.