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Planeta99
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Chapitre 3 : Secret

Quelques jours plus tard, les travaux avaient déjà commencé au manoir. Les domestiques et sa famille avait été loger par de la famille de Katherine et de Khalipso un peux répartie dans le village. Les travaux avaient été estimer par l'architecte à quelques mois environ. Quant à Judith elle était toujours à l'hôpital du village toujours surveiller par une guérisseuse et un agent de police au cas où le ravisseur referait surface et voudrais encore s'en prendre à elle. Ces blessures étaient tellement profondes qu'elle devra y rester pendant de longues semaines.

Pendant ce temps-là tous se retrouvèrent à la taverne du coin pour échanger sur ce qu'il c'était passer quelques jours auparavant. Katherine et Khalipso était plonger dans la tristesse aux vues de ce qu'il était arrivé cette nuit-là et à leur jeune maîtresse. Sandra et George était comme à leurs habitudes, quant à John il s'était refermer sur lui-même prêt à découvrir qui a bien pu faire ça.

- John, comment vas-tu depuis ? Demanda Khalipso
- Je vais bien merci.
- Et vous Sandra et George ? Demanda toujours le valet
- Nous ça vas aussi, toujours dans l'incompréhension de ce qu'il c'est passer. Dit Sandra
- Elle aurait cherché et donner cette foutue clef et ce ravisseur ont n'en serait pas là. Dit George énervé
- Sauf tout le respect que j'ai pour vous monsieur, la jeune maîtresse vous l'avais dit qu'elle ne savait pas où était cette clef le matin ou le bureau avait été vandaliser. Dit Katherine agacée
- Plaît il domestique ? Je ne vous permets pas de me parler comme ça sachant votre rang. Dit George

John mis les poings sur la table d'une telle violence que tout le monde se tue et le regarda. Son regard cachait une haine débutante envers son beau-père.

- John ! Qu'est ce qu'il te prend ? Demanda sa mère
- Dire des sottises comme ça et en plus manquer de respect à Katherine qui dit juste les faits me met hors de moi, tu as juste une fierté et un égo surdimensionné. Sans Judith, Katherine et Khalipso ont aurait pas pu être loger et nourrit donc soit reconnaissant envers elle. Et sa vaut pour toi aussi maman vue que tu ne l'as pas arrêté dans déblatération de débilité absurde.
- Espèce de petit ingrat ! Exclama George
- John calme toi, ne t'énerve pas pour ça, dans tout les cas Judith sera mise aux courant de ce qu'il se passe en son absence. Et des mesures seront prises à l'encontre des personnes qui ose manquer de respect à ces domestiques. Dit Katherine le plus sereinement possible
- Katherine à raison. Dit Khalipso

Pendant ce temps à l'hôpital, l'une des guérisseuse nommé Fayeth prodigua les soins à la jeune femme toujours incapable de bouger à causes des brûlures qu'elle avait eu. Judith ouvrit la bouche puis la referma comme si elle voulait dire quelques choses mais qu'elle n'osait pas.

- Bonjour Madame, je suis Fayeth l'une des guérisseuses qui vais m'occuper de vous. Ne bouger pas trop s'il vous plaît je vous fais les pansements.
- Quel est cette crème ? L'odeur me dit quelques choses.
- C'est une crème a base de plantes fabriquer et utiliser depuis des générations au sein des guérisseuses. Vos brûlures guériront plus vite et est sans douleurs quand on l'applique.
-Nous sommes nous déjà rencontrer auparavant Fayeth ? Si je peux vous appeler par votre prénom.
- Bien sûr vous pouvez. J'ai connu un membre de votre famille il y a fort longtemps.
- Qui ?
- Votre mère madame.
- Il ne me semblait pas que ma mère ai eu recours a une guérisseuse quand j'étais petite.
- Pourtant ça a été le cas.
- Pourriez vous m'en dire plus s'il vous plaît ? Qu'avait-elle ?
- Je ne peux pas malheureusement, je suis tenue au secret médical. J'ai fini vos soins je reviendrais ce soir vous les changer. Reposer vous, vous en avez grand besoin.
- Je comprends, merci tout de même.

La guérisseuse sortie de la pièce ou ce trouva la jeune femme. Qui la plongea dans la solitude et encore plus de questions qu'elle en avait déjà. Un policier toujours devant sa porte de chambre ouvrit la porte et annonça le chef charger de l'enquête pour l'incendie de sa demeure.

- Bonjour Madame Ilioci. Je sais que vous devez vous reposer les guérisseuses m'en ont informé. Mais puis je vous poser quelques questions ?
- Oui faites monsieur l'agent.
- Bien merci madame, avez-vous une idée de qui pourrais être derrière l'incendie ?
- J'en ai bien une mais j'ai peur de faire fausse route et d'accuser quelqu'un a tort.
- Dites-moi sait-on jamais
- Un jour de marché j'ai vu ma cousine discutée avec un vieil homme qui avait l'air très étrange et quand j'ai demandé à ma cousine qui c'était elle m'a dit « ho un ami » comme si elle ne voulait pas que je sache qui c'était réellement. Et depuis ce jour deux un incident avant l'incendie s'est produit
- Quel était cet incident ?
- Le bureau de mon père avait été vandaliser dans la nuit avec un mot laisser qui disait « Si vous ne me remettez pas la clef vous en paierez le prix ». Et juste avant l'incendie j'ai trouvé un autre mot laisser dans le bureau de mon père qui disais « Je sais que la clef est ici, donne-là moi ou il y aura des répercussions de plus je connais la cause de la mort de ton très chère père ». Sauf que je n'ai pas cette clef et je ne comprends pas pourquoi elle est si importante aux yeux du ravisseur.
- Je n'étais pas au courant de ça. Avez-vous encore un des mots avec vous ?
- Oui tenez monsieur l'agent.
- Merci Madame Ilioci je vais mener mon enquête. Vous souvenez vous a quoi ressemblait le vieil homme au marché ?
- Je n'ai pas vue son visage, il avait une grande cape a capuche gris verte assez poussiéreuse.
- D'accord ne vous en faite pas, Ont vas trouver la personne responsable de tout ceci.

Sur ces mot l'agent de police sorti de la chambre et laissa le garde devant laissant entrée seulement les personnes de confiance et les guérisseuses.

- Ce pourrait-il que ce soit ce vieil homme qui soit responsable de tout ceci ? Marmonne Judith
- Ne te fis pas à ce que tu vois ma fille
- Maman ? Papa ?
- Tu n'as pas besoins de savoir qui de nous deux te parle ma chérie. Ne te fis pas à ce que tu vois. Mais fis toi à ce que ton âme voit.
- Je ne comprends pas, je ne peux pas voir avec mon âme c'est impossible.
- Tout est possible si tu y crois, crois en toi comme ont a cru en toi et comme toutes les personnes autour de toi crois en toi.
- C'est encore un souvenir ?
- Non ce n'en est pas un, mais peu importe.
- Papa si ci c'est toi, peux-tu me dire si c'est possible que quelqu'un connaisse la vraie raison de ta mort ?
- Peut-être qui sait, sa sera à toi de le découvrir.

Après ces mots la jeune fille s'endormit laissant place au silence qui pesais. Au même moment à la taverne la discussion était redevenue calme mais pesante. Tous avaient quelques choses à dire mais ne disais rien. Jusqu'à que Sandra brise le silence.

- Bon, George il est temps de t'excuser pour tes paroles que tu as eu.
- Je n'ai pas à m'excuser pour avoir exprimer le fond de ma penser.
- Tu le dois, tu n'as pas à manquer de respect ni a ma cousine et ni à Katherine.
- Toi aussi tu t'y mets ? Foutue mariage arrangé
- Maman à raison, excuse-toi. Je ne répéterai pas ce que je t'ai dit tout à l'heure.
- Bien, Katherine veuillez m'excusez pour le manque de respect que j'ai eu à votre égard mais concernant Judith je ne m'excuserai pas. C'est bien à cause d'elle si nous en sommes là.
- George ! Ça suffit ! S'exclama Khalipso
- Si vous n'êtes pas content de la situation vous pouvez partir, ont ne vous retiendra pas. Dit encore Khalipso

Sans répondre George sortie de la taverne avec son air arrogant quand il est énervé. Cependant il revient à la taverne et dis une phrase qui laissa tout le monde sous le choc de ces mots.

- Je n'en resterai pas là, elle le paiera un jour ou l'autre.

Sur ces mots il s'en alla pour de bon, Sandra ne le suivit pas. Elle ne pouvait cautionner son irrespect et ces paroles de menaces à l'encontre de sa cousine ni le mépris qu'il avait envers la gouvernante. Il ne fallait pas lui en vouloir de devoir rester avec lui, elle y avait été forcer de ce marié avec lui. Très peu de femme avait son mot à dire à l'époque ou il vivait. Tant qu'elle apportait amour et sécurité a son fils et qu'elle le protège quoi qu'il arrive c'est ce qu'il lui importait.

- Katherine savez-vous si les travaux de rénovation ont avancé ? Demanda Sandra
- Je ne gère pas ceci, mais Khalipso doit peut-être être au courant.
- Les travaux n'ont pas encore pu commencer, ils ont dû déblayer plusieurs pièces et sa a pris plusieurs jours aux vues de la grandeur du manoir. Dit Khalipso
- Pensez vous que les souvenirs de famille ont pu être épargner par les flammes ? Demanda Sandra attristé
- Oui ils ont été épargner, ils sont dans le bureau du défunt maître, tout les meubles sont résistant au feu et quant a l'atelier qui est toujours fermé à clef la porte est inflammable également.
- Je suis soulager, Judith sera contente de l'apprendre. Je sais qu'elle tient énormément aux souvenirs de sa mère et aussi de son père.

Sur ces mots Sandra pris congé et alla voir Judith à l'hôpital, laissant John, Khalipso et Katherine à la taverne.

- Bonjour puis-je savoir qui vous êtes ? Demanda l'agent de police
- Je suis Sandra la cousine de Madame Judith Ilioci, je souhaiterai la voir.
- Un instant je vous prie. Pour l'instant elle dort, pourriez-vous revenir plus tard ?
- Oui pas de soucis, pourriez vous lui dire que je suis passé ?
- Oui Madame.

Sandra voulait à tout prix parler à sa cousine, quelque chose lui trottai en tête et il fallait qu'elle lui partage sa pensée. Ne sachant pas à qui se confier à part à elle, elle décida d'attendre et d'aller faire un tour au village.
Quelques heures plus tard Sandra revenu à l'hôpital et pu rentrer dans la chambre de la jeune femme.

- Bonjour cousine comment tu vas ? Demanda Sandra
- Ont vas dire que ça va. J'ai connu mieux...
- Puis-je te parler de quelques choses ? Je ne sais pas à qui en parler...
- Oui qu'est-ce qu'il se passe ?
- Tu vois mon mari ? Qu'en pense tu ?
- Honnêtement ? Je l'ai cerner dès que tu me la présenté. Mais il a quelques choses que je n'aime pas chez lui. Mais ce n'est pas de ça que tu voulais me parler, pas vrai ?
- En effet, toute a l'heure ont c'est tous rejoint à la taverne et George à commencer à te manquer de respect puis à dire que tout était de ta faute si ont en était là et puis...
- Et puis ?
- Il a aussi manqué de respect à Katherine en la rabaissant.
- Comment ça il la rabaisser ?
- Il lui a dit qu'au vue de son rang elle ne pouvais s'adresser à lui comme ça. Donc John s'est rapidement énerver et à taper du poing sur la table et a remis George a sa place. Ne sachant pas quoi dire au comportement de Georges, je n'ai rien dis mais j'aurai du et je m'en excuse. Katherine est comme de la famille pour moi.
- Ou est George a présent ?
- Je ne sais pas il est partie de la taverne en profanant une menace...
- Et qu'elle était-elle ?
- « Je n'en resterai pas là, elle le paiera un jour ou l'autre ». En parlant de toi...
- Je ne sais pas ce qu'il a depuis qu'on est arrivé mais il se comporte étrangement violent dans ces paroles.
- Sandra je peux te poser une question ?
- Oui dis-moi.
- Qui était ce vieil homme avec qui tu parlais la dernière fois au marché ?
- Je te l'ai déjà dit c'est un ami.
- Vraiment ? Je peux te faire confiance ?
- Mais oui cousine bien sur que tu peux me faire confiance voyons. Je dois y aller, merci de m'avoir écouter.
- Je t'en prie, à bientôt.

Sur ces mots Sandra sorti de la chambre laissant Judith à nouveau seule et avec toujours plus de questions. Elle partit chercher son mari dans le village, pour avoir une explication sur le comportement qu'il a eu à la taverne.

Pendant ce temps-là, John, Katherine et Khalipso était partie à leurs tours de la taverne et faisais visiter le village à John qui jusqu'à maintenant connaissais seulement le manoir et n'en était pas encore sortie depuis son arrivé.

- John regarder ça ? Dit Katherine
- Ho qu'est-ce que s'est ?
- Une boutique qui vent d'un peux de tout, vous pouvez y trouver des tableaux, des objets, des fleurs et pleins d'autres choses.
- Et la boutique juste à côté ?
- Ho ça c'est la boutique d'armes de la jeune maîtresse.
- C'est la ou elle a acheté son arc. Seule les deux épées jumelle ont été faite sur mesure pour elle.
- Qui lui a fait les épées ?
- C'était son père, petite elle les avait dessiner et son père pour lui donner le sourire décida de les lui faire. Vous auriez vue son sourire quand elle les a eu je ne l'ai jamais vue aussi heureuse que ce jour-là
- Hum ? Pensez vous qu'une nouvelle arme lui ferai plaisir ?
- J'en suis sûr ! Dit Khalipso
- De plus si sa viens de vous ! Affirma Katherine
- Quelle arme na t'elle pas dans ces cas-là ?
- Hum il lui manque une dague, une épée seule. Dit Khalipso.
- C'est parfait ! Conclut John
- Vous pouvez m'attendre dehors s'il vous plaît ? Je dois parler avec le forgeron.
- On vous attend dehors aucun souci.

Sur ces mots Khalipso et Katherine alla attendre dehors tandis que John parla au forgeron de son idée à couper le souffle pour le cadeau de Judith. Il pensa à lui faire sur mesure des dagues jumelles car il ne la voit pas avec une simple épée.

- Bonsoir monsieur, serait-il possible de passer commande pour des dagues jumelle en sur mesure s'il vous plaît ?
- Oui aucuns soucis, c'est pour quelqu'un en particulier ?
- Oui c'est pour madame Ilioci
- Ho comment vas-elle ? Elle est toujours contente de son arc ?

John lui expliqua ce qu'il c'était passer la nuit de l'incendie et lui dis que Judith est actuellement à l'hôpital pour soigner ces multiples blessures. Et que ce cadeau était important pour lui car il aimera lui avouer quelques choses quand il ira lui offrir ces dagues.

- Vous savez qu'elle style elle aime niveau ornement je suppose ?
- Oui son père m'avait demander de l'aide concernant les épées jumelles qu'il avait décidé de forger lui-même.
- Dans ce cas ont vas apporter quelques modifications pour les dagues.
- Oui aucun souci en combien de temps souhaiter vous que ça soit fait ?
- Une semaine c'est possible ?
- Sa vas être juste mais c'est faisable.

Sur ces mots John lui confie ce qu'il aimerait en ornement et lui paya la somme du pour les dagues. Le forgeron lui promit qu'elle serait prête dans une semaine pas un jour de plus. En remerciant et sortant de la boutique du forgeron, il rejoignit Katherine et Khalipso qui attendais devant la boutique d'à côté. Il leurs fit signe de tête vers l'hôpital et s'en alla.

A l'hôpital, la guérisseuse était revenue faire les pansements de la jeune femme. Tout en évitant de parler de la mère de cette dernière, ce sujet l'attristais beaucoup.

- Bonsoir Fayeth
- Bonsoir Madame, avez-vous pu vous reposer ?
- Oui merci, pouvez vous me parler de ma mère s'il vous plaît ?
- Je ne peux pas madame, mais dites moi toujours ce que vous voulez savoir et j'essayerai d'y répondre si je le peux.
- Comment était telle ?
- C'était une femme extraordinaire, toujours le cœur sur la main, pleine de vie et remplie de bonté.
- Était telle heureuse ?
- Oui elle l'était.
- M'aimait telle ?
- Oui elle vous aimait plus que qui qu'onques, elle vous a toujours protéger.
- Protéger de quoi ?
- Je suis désolée je ne peux pas répondre à cette question madame, ce sujet est assez douloureux pour moi.
- Je n'insisterai pas plus, quand vous serez prête je serai ravi de vous en dire plus. Mais dites-moi d'où vient ce pendentif que vous portez autour du cou ?
- Ma mère me la donner dans un souvenir, sa peux paraître totalement impossible mais c'est ce qu'il c'est passer.
- Quand vous la telle donner ?
- La nuit de l'incendie, pourquoi ?
- Ho non pas ça, vous n'êtes pas encore prête pour ça.
- Pas encore prête pour quoi ?
- Je suis désolée madame, je dois y aller j'ai fini de faire vos pansements.
- Attendez !

La guérisseuse partie sans s'arrêter l'air bouleverser et choquer par ce qu'elle venait d'apprendre.

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