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Legendeurbaine
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Prologue

La lune d’argent illuminait l’immense forêt comme le soleil pouvait éclairer chaque arbres, chaque plantes. Les rayons lunaire étaient filtrés par les branches des arbres qui, se laissaient bercer lentement par une légère brise rafraîchissante. Par ce léger vent les branches les plus fines et les feuilles séparer chantaient une douce mélodie en se mélangeant au bruit du courant de la rivière, berçant les différents animaux dans leurs profond sommeil. Toute la forêt dors paisiblement sous sa couverture étoilé. Toute ? Non. Dans une clairière ou le gazon cesse d’être présent dans la clairière. Comme si l’herbe avait cesser de pousser à l’extrémité séparant le reste de la forêt et cet endroit ou sont disposer en cercle de grands menhirs éclairer par le soleil nocturne comme si on était en plein jour. On pouvait voir sur ces étranges pierre dresser, de mystérieux symboles gravés : des runes. Au centre de ce cercle de pierre était dresser des pierres disposer en triangle portant une palette circulaire en pierre faisant office de table. Cet endroit était si mystérieux, si bien cacher par la forêt, qu’il s’en dégage une atmosphère magique. Oui c’est ça. Ce lieux baigne dans la magie. Est-ce à cause de cela que l’herbe n’y pousse pas ?

Deux silhouettes entrèrent dans ce lieux par le côtés Sud, tandis qu’une troisième entra du côté opposé. Les trois mystérieux personnages portent une robe d’un tissus aussi noir que la nuit. Non c’est noir profond, comme si elles avaient été tisser dans les ténèbres elles-mêmes. Même avec la pleine lune on ne peut voir leurs visage encapuchonnées. La troisième personne porte dans ses bras quelque chose enroulé dans un drap comme si elle portait un bébé innocent.

— Êtes vous sûr que c’est la bonne chose à faire ? demanda-t-elle avec dans sa douce voie féminine, un mélange d’inquiétude et d’une forme de certitude, comme si elle connaissait la réponse mais qu’elle avait du mal à l’accepter.

— Tu le sais aussi bien que moi que c’est la bonne chose à faire très chère, répondit la silhouette de droite. Sa voie était celle d’un homme qui était entre sa voie normal et l’aiguë.

— Ou est le deuxième ? Ajouta avec curiosité la dernière silhouette, ce qui fit tourner les deux autres dans sa direction.

— Raven Turner veille sur elle. Je lui fait entièrement confiance malgré son jeune âge, rétorqua la mystérieuse femme encapuchonnée. Vous prendrez soin de lui ? Vous me le promettez ?

— Comme si c’était un membre de notre famille ! répondirent les deux hommes encapuchonnée en même temps, leur voie était en harmonie en répondant à la question.

La femme regarda une dernière fois l’enfant qui dormais profondément dans ses bras. Elle savait que c’était le mieux à faire pour protéger son nouveau né. À l’instant ou il est né, elle senti une énorme puissance magique. Si il grandissait avec elle, son enfant serai la cible de personnes malveillante qui se servirait de lui pour utiliser ses pouvoirs à leurs fins, ou qui le tuerai et lui voleraient ses pouvoirs. Si il restait avec elle, elle ne pourrait pas l’aider à maîtriser sa magie et donc il ne pourrait pas se défendre lui-même. Certes elle avait aussi des pouvoirs. Mais. Ils étaient si différents des siens. Ce n’était pas la même magie, ou du moins similaire. Alors même si c’était dure, même si ça lui brisait le cœur, qu’elle avait l’impression que son cœur ou qu’une parti d’elle même, une parti de son âme lui était arracher de force. Elle devait le faire. Elle devait le confier à des personne qui possédait une magie similaire à celle de son enfant, et ainsi il apprendrait l’usage de la magie, que ce soit pour le meilleur… ou pour… le pire.

Elle fit le tour de la table, lentement, mais avec de grand pas. L’homme de droite la rejoins à mi chemins. Il savait mieux que quiconque qu’il était difficile, voir impossible de se séparer ainsi de son enfant. Il avait l’impression de revivre la tragédie qui l’a frappé autrefois. Il croyait que le destin lui donnait une chance de recommencer avec cet enfant. Un chance de repartir de zéro.

Leurs bras se croisèrent, ils portaient ensemble le bébé qui dormait encore profondément. Les deux personnes qui le portaient étaient tout deux fasciné par le lourd sommeil du petit qui, malgré le sons de leurs voies à tous les trois qui ne chuchotait pas, et la légère fraîcheur du lieu, restait paisiblement endormie. Sa mère ne pus retenir quelque larmes tellement la pensée de se séparer de son enfant à peine né la peinait. Les deux hommes avaient de la peine pour elle.

Finalement, au bout de quelque seconde qui lui parut de longue minutes, voir plusieurs heures. La femme retira délicatement et doucement ses bras. Confiant ainsi son enfant à ceux qui lui avait promis de veiller sur lui comme si c’était le leurs. Elle senti le doux vend caresser ses bras. La douce chaleur du petit corps qu’elle portait dans ses bras, laissa la place à la douce fraîcheur de la brise nocturne.

— Comment s’appelle-t-il ? demanda l’homme qui portait l’enfant qu’on lui avait confier. Il retourna aux côté de l’autre homme sans attendre la réponse.

— Elmith, répondit-elle retenant ses sanglot. Son nom est Elmith.

— Elmith… voila un bien jolie nom, ajouta le deuxième homme posant sa main droite sur l’épaule de son compagnon.

Sans un autre mots les deux hommes encapuchonnée se retournèrent et partirent. La femme resta figée, elle resta là à regarder impuissante, les deux hommes disparaître dans l’obscuritée de la foret, emportant avec eux son bébé.

— Je t’en prie Déesse, veille sur mon petit Elmith. Protège le. Fais que ses pas le guide un jour vers moi. pria-t-elle en joignant très fortement ses mains. J’espère que tu ne m’en voudras pas quand tu apprendras la vérité mon fils. Et que tu comprendras pourquoi je l’ai fais. Sache que je serais toujours près de toi, je serais toujours dans ton cœur. Je t’aimerais toujours mon fils. finit-elle en laissant ses bras tomber le long de son corps.

Elle resta là un bon moment encore. Comme si le temps s’était arrêter, comme si le monde s’était arrêter autour d’elle. Comme si son cœur ne battait plus. Elle se força à bouger ses jambes qui se tournaient péniblement. Elle commença son chemin de retour, laissant cette fois-ci couler ses larmes. Elle ne pouvait les retenir plus longtemps. Il fallait qu’elle évacue son chagrin avant qu’il explose. Bientôt elle disparu également dans les ténèbres nocturnes forestière.

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