Quelques heures avaient passée. Ils leurs a fallu pas moins de trois heures pour convaincre la guerrières de leurs ouvrir le chemins. Ce n’était pas un problème de courage. Ça elle en avait à revendre, tout le monde disaient que c’était sa plus grande qualité et qu’elle faisait la fierté de la garde royale.

Quand les fée ont quittés le château le soleil commençait à se coucher. La reine à laisser sa robe couleur Lilas pour une tenu plus adapté à la marche comme celle de sa fille, mais elle y a rajouter une armure comme celle de Raven. Stellina aussi s’est vêtu d’une armure et elles ont prit chacune une arme. Stellina à toujours aimer les arcs alors depuis toute petite elle s’est entraîner au tir à l’arc, Aurora maniait une lance, la pointe était en un métal argenté avec du doré sur les bord, enfin Raven était une épéiste hors paire. Son épée était particulière, son manche était doré tout comme sa garde arrondie se repliant jusqu’à toucher la lame fine dans le même style et du même métal que la lance de sa reine.

La forêt était si dense et le temps s’écoulait à grande vitesse. Très vite la forêt était presque plonger dans le noir. Les rayons du soleil pouvait difficilement passer à travers les feuillage des arbres tellement que la forêt était dense et profonde. Elle était si dense qu’on ne pouvait difficilement voir les tours des deux châteaux opposés.

Ils marchèrent encore et encore. La guerrière qui avait survécu ouvrait le chemins, elle marchait sans hésitation, ça se voyait qu’elle savait où elle allait.

La reine n’avait prix une escorte de seulement une dizaine de fées. Elle s’était dit que ça suffirait à contrôler les deux mystérieux sorciers. Après tout ce n’était qu’une petite poignée des fées les plus puissantes du royaume. Treize fées ayant une magie plus puissante que les autres fées de leur peuple contre deux sorciers aussi puissants soit-ils. Ils n’ont aucune chance contre elles. Au cas où Stellina et Raven avait prévu une ‘’petite surprise’’ comme elles l’appelaient.

— Sommes nous encore loin ? chuchota la reine. Elle marchait un peu en retrait derrière sa fille et son amie et garde du corps, l’escorte les suivait de quelques mètre en arrière. La guerrière survivante ouvrait la marche.

— Nous ne sommes plus encore loin du lieu où nous avons été attaqué votre altesse, lui assura la guerrière. En tournant légèrement la tête vers la gauche, ses yeux s’écarquilla, sa respiration s’accéléra, son cœur manqua un battement avant d’accélérer la cadence des battement et senti des sueur froide. Elle regarda sa main droite. Elle tremblait. Elle avait l’impression que le monde tournait, sa tête tournait. Elle savait ce qui lui arrivait :

elle faisait une crise de panique. Elle avait l’impression de revenir le jour de son examen d’entrée à l’école de chevalerie féerique.

Elle sorti brusquement de ses pensées quant une main se posa sur son épaule. Ses yeux se tournèrent vers la princesse la regardant avec inquiétude. Stellina demanda après avoir constaté que leurs guide soit sortie de ses pensées

— Tout va bien ? Que-ce passe-t-il ?

— Ho… c’est juste que… enfin, hésita-t-elle, elle avala difficilement sa salive, gonfla à fond ses poumons avant de souffler un bon coup et repris en pointant du doigt la direction qu’elle regardait. La clairière où nous avons été attaqué est là. On… on est arrivé.

Sur un signe de la princesse, l’escorte se sépare en deux groupe de cinq et vont se cacher des deux côté de la clairière ou étaient les deux sorciers. A leurs pied il ne restait que les armes des fées qu’ils avait tué plus tôt dans la matinée.

Elles n’avaient pas l’air de comprendre ce qu’ils faisaient, on aurait dit que l’un des sorciers entraînait l’autre à lancer un sort. Les cheveux blond et mal coiffé de ce dernier contrastait avec sa tunique et son pourpoint marrons et ses braies et souliers était noir. Les fées l’entendirent râler

— Arrr… A quoi bon de faire ça Elmith ? Je n’y arriverais jamais il faut se rendre à l’évidence.

Elmith ?! Aurora écarquilla les yeux en entendant ce nom. Est-ce que la reine des fée avait bien entendu ? Son cœur battait la chamade alors qu’elle essaya tant bien que mal de plisser les yeux pour bien regarder le visage d’Elmith. Ses long cheveux châtain qui tombaient jusque dans la bas de son cou et était attaché en queue de cheval. Sa tunique était d’un vert plus claire que son pourpoint et ses braies et souliers abordaient la même couleurs que ceux de son ami. Les yeux de la reine fixa son cou, elle cherchait une marque de naissance en forme d’étoile à huit branche.

Elmith… c’était le nom qu’avait donné la reine il y à près de vingt ans à son nouveau né. Le frère aîné de sa fille Stellina. Il avait une marque de naissance en forme d’étoile à huit branche sur le côté droit de son coup. Elle avait dû se résoudre à se séparer de son bébé car sa magie était différentes de celle des fées. Elle voulait lui donner toute ses chance pour survivre. Elle eut des frissons lorsque le jeune sorcier parla, lorsqu’elle entendit sa voie.

— Marlin tu ne vas pas abandonné ? Tu sais bien que ce sort est très difficile à maîtriser, un sort tel que celui-ci ne s’apprend pas en un jour. Il m’a fallut des mois pour le maîtriser.

— Qu’est-ce que je devrait faire alors ?

— Simplement être patient. Tu as un grand potentiel tous le monde le dis. Alors tu va me faire le plaisir de persévérer, assura-t-il à son compagnon. Bon nous avons assez travailler sur ce sort, on reprendra demain. dépêchons nous de rentrer la cérémonie va bientôt commencé et j’ai promis à l’Ensorceleur de venir le voir avant.

— Oui rentrons. Je me demande qui il aura choisi pour être son successeur.

Stellina fit signe à Raven qui afficha un sourire narquois sur son visage. Elle fit signe à son tours aux autre fée guerriers qui surgirent l’instant d’après. Elles courraient en directions des deux sorciers. Ces derniers n’ont pas le temps de réagir

— DES FÉES, cria Elmith. MARLIN PRÉPARE TOI A TE BATTRE.

Cependant les événement se passaient trop vite. Ils n’avaient pas le temps de réagir. La princesse et son amie leurs mirent à chacun un bracelet doré.

— N’essayez pas d’utiliser vos pouvoirs, Sorciers, informa Raven les forçant à se mettre à genoux. Ces bracelet son enchantées. Ils bloquent vos pouvoirs.

Les guerriers pointèrent leurs armes sur les deux sorciers. Ils se demandaient comment ils allaient se sortir de ce pétrin, de cette situation très fâcheuse.

La nuit était presque tomber, la forêt commençait à être plonger dans le noir. On commençait à ne plus y voir claire tellement la densité de la forêt ne laissait traverser la lumière. Les fées avait fait un feu, elles avaient décider de rester pour la nuit et de rentrer avec leurs prisonniers dès l’aube. Les deux sorciers était assis, pieds et mains lier par des cordes bien trop serrer pour pouvoirs se libérer. De toute façon même si ils arrivaient à se défaire de leurs liens, deux fées les surveillent de près. Ils n’auraient donc aucune chance.

— Qu’allons nous faire d’eux maman ? demanda Stellina avec un mélange de curiosité et de satisfaction.

— euh… et bien… euh, bégaya-t-elle. Et bien on va les jeter au cachot en attendant de les juger, se ressaisie-t-elle.

Raven vit rouge, ses poing se serrèrent, de même que ses dents qui l’étaient tellement fort qu’on pourrait croire qu’elles allaient toutes se casser.

Raven détestait les sorciers, bien plus que les autres fées. Elle s’était jurer de tuer tous les sorciers, de tous les exterminé. Jusqu'au dernier.

Elle se retint d’exploser de rage à temps lorsqu’elle ouvra la bouche pour demander

— Si je peu me permettre votre altesse. Pourquoi ne les tuons nous pas tout de suite ?

— Voyons Raven. Nous ne sommes pas des barbares. Nous vallons bien mieux qu’eux, moralisa la reine sûre d’elle et de ses paroles.

— C’est vrai, souffla Raven. Je vous prie de m’excusez

Raven se tourna alors vers les prisonniers. Même si leurs deux otages étaient en sous effective, il fallait les surveiller, et surtout monter la garde autour du camps. Si les autres sorciers apprenaient que deux d’entre eux ont été fait prisonniers, ils allaient envoyer toute une armée, voir pire :

lancé un assaut au château. Il fallait dans tout les cas se préparer au pire.

Raven sursauta lorsqu’elle vit devant elle un visage inconnu. Un homme se dressait devant elles. Ses cheveux brun tombaient presque sur ses épaule et il portait des vêtements faits avec des écailles rouge et noir, sa peau était d’une pâleur, aussi blanc qu’un linge. Ses yeux était marrons crème.

En le voyant, les fées se précipitèrent vers l’intrus, leurs armes à la main. D’un geste de la main, tous se virent se faire briser le cou. Il ne restait que la reine, Stellina et son amie Raven. Sans un autre mot et sans qu’elles puissent faire quoi que soit. Le mystérieux personnages claque des doigts. L’instant d’après les liens empêchant les deux sorciers de bouger disparurent, mais réapparurent attachant cette fois les trois fées. Les bracelets disparurent également des poignet mais se mirent autour des bras des prisonnières. L’homme se retourna, le sourire de satisfaction au lèvres et se dirigea vers les deux sorciers.

— Tout va bien les garçons ? demanda-t-il avec de l’inquiétude dans sa voie.

— Plus de peur que de mal Père, répondit fièrement Elmith. Vous êtes arriver à point nommé.

— Je parle pour nous deux en vous remerciant d’être venu nous sauver ô Ensorceleur.

“ Quoi ! L’Ensorceleur ! Cet homme est le chef des sorciers ? Ce Elmith l’a appelé ‘’ Père’’ alors ça veut dire que. ” Tout se bousculait dans la tête de Raven. Elle n’arrivait pas à croire qu’elles tenaient le fils du chef des sorciers.

— Que vas-t’on faire d’elles Père ? demanda Elmith suspicieux. Ce sont la reine et la princesse des fées. Si on les gardes en otages, le reste des fées voudront les sauver et lanceront un assaut contre nous.

— Pour l’heure très cher, nous allons les emmener au château. Tu vas vite comprendre mon choix. Pour ce qui concerne leurs sort… je laisse le soin à mon successeur de s’en occuper.

L’ensorceleur leva le bras droit brusquement. L’instant d’après, ils se retrouvent dans une pièce. Une chambre. Oui c’est une chambre, les murs sont en pierre noir. Les trois fées sont attacher à des chaises. Les deux sorciers eux sont assis sur un lit. L’Ensorceleur reste debout. Plusieurs question se bousculaient dans la tête de Stellina et de Raven :

Pourquoi les amené dans cette pièce ? Que va-t-il leur dire ? Qu’est-ce que ça à voir avec les

fées ? Seul la reine savait. Elle seul savait la vérité. Il était grand temps pour la vérité d’éclater au grand jour.