Le soleil était à son zénith. Ses rayon caressaient de sa douce chaleur les arbres, les plantes, les murs des maisons, les toit des maisons, les parois du château aux pierre claire, d’un blanc pure comme si c’était un château en marbre. Mais ils caressaient également le corps des habitant de ce royaume à l’apparence si paisible : les fées.

Il ne faut pas croire qu’il s’agit d’un peuple uniquement composé de femmes comme les Amazones dans la Grèce antique. Il y avait aussi des hommes fées dans ce royaume.

Toutes les conditions sont réunis pour que cette journée soit paisible. Après tout le soleil brille, il n’y à pas un seul nuage dans ciel, une petite brise printaniers caresse le visage des fées en extérieur et enfin les oiseau chante. Pourtant même si cette journée s’annonçait parfaite, rien ne l’empêche de basculer au désastre. Même les jour les plus ensoleillé comme ce jour là peut se transformer en une tempête imprévu.

Cette fin de mâtiné est mouvementé. Surtout au cœur du château. Dans un long et large couloir doré, les rayon du soleil sont refléter par la blancheur des pierres. On peut entendre des pas rapide claquer le sol si fort que l’écho se propage dans la totalité du château, s’atténuant au fil de sa propagation dans tout l’édifice.

Stellina fit de grand pas lourd, balançant ses bras avec rythme. Ses long cheveux châtain qui d’habitude tombaient dans la bas de son dos et ondulaient magnifiquement comme si ils étaient vivants quand elle se déplaçait, étaient cette fois-ci tel un fouet frappant le dos de leurs possesseuse. Ses yeux bleu azur laissaient voir de la panique.

Elle ne portait pas de robe, juste un pantalons marron bois de cèdre, une chemise en toile marron bois de chêne qui rentrait dans son pantalon, des poulaines dont l’extrémité n’était pas relevé ni allongé et un gilet tout deux en cuir de vache.

Stellina était suivi de son amie d’enfance Raven, elle avait cinq ans de plus qu’elle. Depuis la naissance de Stellina elle n’a jamais cesser de veiller sur elle comme une grande sœur. Mais c’était avant tout son garde du corps en plus d’être sa suivante. Elle devait la suivre partout et la protéger au péril de sa propre vie.

Elle portait la même tenu que sa protéger, mais elle portait également un plastron, des cuissardes, des genouillères, des grèves, des canons d’avant bras, des cubitières, des brassards, des épaulières et une braconnière en métal doré. Ses cheveux noir profond coupé en carré contrastaient avec sa peau blanche. Une longue cicatrice descendait en diagonale du bas de son front à l’extrémité gauche de sa bouche. Ses yeux noir toujours sérieux fixaient toujours celle qu’ils ne devaient pas perdre de vue. Raven marchait à la même allure que Stellina bien qu’elle reste derrière elle.

Devant-elles se dressent une double porte en bois peint en bleu ciel. Stellina ouvra violemment les deux portes avec ses mains, les poussant en arrière, leurs ouvrant le chemins qu’ils bloquaient. Le bruit résonna dans toute la grande salle. Tous se retournèrent vers elles, se demandant ce qui lui prend d’entrée ainsi. La salle était assez grande pour accueillir plus d’une centaine de personnes au moins. Des tapisseries rouge recouvraient les murs. La lumière du jour traversait d’immenses fenêtres. Au fond de la salle se trouvait deux trônes, deux trônes à hauteur égale sculpter dans du marbre blanc avec un coussin rouge rubis afin d’avoir la certitude d’être confortablement assis. Tout les sièges du château était ainsi : en marbre blanc avec un coussin, chacun de différentes couleurs, bleu ciel, vert nature, rouge rubis.

Bien que cette dernière soit l’une des couleurs de la famille royal, cela ne signifiait pas qu’elle était exclusivement réserver à la famille royale. Tous pouvait porter les couleurs royaux. Les fées étaient un peu plus égalitaires que leurs adversaire les sorciers. Cependant les fées pensaient que leurs ennemis ne travaillaient pas ensemble contrairement à elles, elle pensait que c’était leurs plus grande faiblesse et elles l’utilisaient pour gagner la guerre qui opposait les deux peuples depuis des siècles. Mais les sorciers étaient bien plus soudé qu’elles le pensaient.

— Stellina j’espère que tu as une bonne raison pour entrée ainsi dans la salle du trône ?! s’exclama la reine d’un ton sévère et agacé.

— Désolé d’interrompre cette réunion maman et chers ministre, déclara à son tour Stellina en s’approchant avec de grand pas. Mais c’est urgent. Très urgent.

La reine Aurora était une femme d’une quarantaine d’année. Elle a les cheveux presque blanc, ils descendaient en douce vague dans son dos, ses yeux sont bleu et lumineux, sa peau a l’air si douce, elle était d’une beautés divine.

— Pfffu…veuillez nous excusez, soupira la reine. Alors qu’y a t-il de si urgent justifiant l’interruption de la réunion stratégique ?

— La guerrière qui était avec la patrouille de ce matin et qui est revenu dans un piteux état il y à quelque heure s’est, réveillé, répondit la princesse en reprenant son souffle. Ça a été difficile pour elle mais, elle nous as raconté ce qui s’est passé.

— Alors ? Coupèrent la reine et les ministres, voulant savoir ce qu’elle a dit.

— Alors qu’ils se rendaient vers le château des sorciers… ils ont été attaqué par deux sorciers. Malgré leurs infériorité numérique ils ont tué tous les membre de la patrouille. Elle est la seule survivante… elle à pu s’enfuir dans l’espoir de pouvoir tout vous raconter, elle repris son souffle et continua. J’ai envoyer un espion pour les surveiller, ainsi on pourrait les capturer et s’en servir pour vaincre une bonne fois pour toute les sorciers.

— Comment deux sorciers ont pu venir à bout de toute une patrouille ? se demanda la reine choqué. Quoi qu’il en soit tu as bien fait même si tu aurais dû m’en parler. Stellina va te préparer, Raven va prendre ton armes et prépare quelques uns de nos guerriers. Puis va chercher la guerrière qui a survécu. On aura besoins d’elle pour nous guider. Veuillez nous excusez chers ministre mais nous avons un plan à exécuter. repris plus calmement la reine. Vous pouvez disposer, son visage changea et montra une certaine inquiétude. Stellina encore une chose… après la mission je dois te révéler quelque chose.

— Bien votre altesse, exclamèrent-ils tous en même temps en s’inclinant.

La princesse et son amie se retournèrent et partirent. La reine resta sur place alors que la pièce se vidait peu à peu. Elle regardait dans le vide durant des minutes interminable. Plonger dans ses pensées, noyer dans ses pensées. Tout se mélangeait dans sa tête.

Quand enfin elle fut seul. Elle soupira et alla vers une fenêtre. Elle y regarda le paysage, le visage affichant une certaine forme de nervosité. Elle cru savoir qui était l’un des deux sorciers et elle soupira

— Pour venir à bout d’une patrouille de fées aussi puissante et nombreuses sont-elles, il faut être un sorcier d’une grande puissance magique. Serait-ce lui ? Est-ce que nous serons enfin tous les trois réunis ? Il n’y à qu’un seul moyen de le savoir.