✿Chanson/musique: ~White Ferrari - Frank Ocean ~ i need to be alone - girl in red ~ Wires - The neighbourhood ~ Flawless - The neighbourhood✿

Ce que j'ai le plus aimée écouter en écrivant ce chapitre. Vous pouvez les écouter en lisant, sinon il y a toujours la playlist Délivrance disponible sur Spotify. Vous allez trouver toute les chanson et musique dedans.

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Chapitre III

Le Nocturne, Vérité Ou Vérité, Emplois Du Temps Plutôt Spéciale Et Première Jour De Cours.

Cinq Minutes Après Le Départ De Lyana.

Adam

Je regarde Darwen toujours sur le sol et un petit ricanement s'échappe d'entre mes lèvres. Darwen me fusille du regard, ce qui me fait presque éclater de rire.

-Ça t'apprendra à vouloir faire le mec, dis-je entre deux rires.

Il lève les yeux au ciel, agacé.

-Je te l'avais dit, Darwen. Ma sœur n'y va pas de main morte, renchérit Lyam.

Tout le groupe finit par rire, sauf le concerner qui marmonne des insultes.

-Orh ça va! C'est juste une meuf qui vient de te mettre un coup dans les couilles, tu vas t'en remettre, dit Zayan toujours hilare.

-De toute façon, moi je trouve qu'il le méritait bien, rigole Tomas.

-Bien d'accord avec toi! dit Ryan en donnant un coup de coude à Tomas.

-Mais c'est bon! finit par s'énerver Darwen.

Je lui propose ma main pour l'aider à se lever et il la prend. Il se relève et regarde Lyam, avant de déclarer:

-Plus jamais, je m'approche de ta sœur.

Lyam sourit fièrement et dit à son tour:

-J'espère, car si j'apprend que ma sœur fréquente l'un de vous... Je vous prévient! Vous allez souffrir par ma faute. J'ai été bien clair ?

Nous hochons tous la tête.

Nous venons de faire une promesse silencieuse...

Encore bien que Lyam ne sait pas la rencontre que j'ai fait avec sa sœur, tout à l'heure. Car je serais déjà six pieds sous terre.

Mais ça me fait prendre conscience que sa sœur n'a rien a voir avec Lyam. Tous les deux ne se ressemble pas physiquement, même niveau caractère. Lyam est extravertie, alors que Lyana est plutôt du genre introvertie. La seule ressemblance que j'ai remarqué est leur agressivité et leur sérieux dans certaines situation.

La petite rousse que j'ai vue tantôt, semblait mal à l'aise. Comme si elle venait de se rendre compte de ce qu'elle venait de faire. Je me rappelle encore de cette couleur rosée qui teintait ces joues, un peu creuse. Elle était...

Je ferai mieux de me concentrer sur ce que les garçons disent.

-Alors? On va au Nocturne? demande Tomas en nous regardant un par un.

-Quel heure? demande Marvine en pointant un portable sur la table, d'un coup de tête.

Le téléphone semble être celui de Ryan. Il le prend, l'ouvre et nous informe:

-Quatorze heures, vingt-et-un.

-On a une fête à organiser! Pas de temps à perdre! s'exclame Zayan en se levant de la table, sur laquelle il était assis.

Le Nocturne est un endroit pas loin du campus de l'académie. C'est là-bas que nous organisons nos fête, avec un peu d'alcool et beaucoup de musique qui tape fort pour nos tympan. C'est également dans cette petite maison abandonnée que nous avons rénovés ensemble, que la plupart d'entre nous on fait leur première fois. Nous avons majoritairement 16 ans chacun.

Dans quelques semaines, je vais avoir 17 ans. Encore plus précisément, le 29 octobre.

Mais on va au Nocturne pour la fête de Lyam qui arrive dans moins de deux semaines. Les garçons ce sont dit qu'on pouvait faire une fête la fin de semaine prochaine. Ce qui nous pousse à devoir préparer les fêtes maintenant, car si on n'a pas d'alcool ou de cigarettes, la plupart des gens vont finir par partir.

Nous fessons quand même attention, à ne pas faire rentrer des personnes qui vienne d'avoir quinze ans ou qui sont plus jeunes. Ce qui veut dire les première années et les deuxièmes années.

Nous possédons les lieux depuis bientôt un an et nous avons commencés à faire nos fêtes cette été, avec toute les personnes qui n'ont pas de parents. Triste à dire comme ça, sauf que la plupart des personnes qui sont admit ici, n'ont pas de parent présent à cause de leur travail de Tueur à gage.

Ça prend tellement de place dans leur vie, au point qu'ils oublient leurs enfants! Dingue, non?

Un peu comme, Ryan et Zayan, les deux ont des parents, du moins en avait. Car ils ont comme finit par les laisser... Par les abandonner... Maintenant ils grandissent sans figure parentale. Moi j'en ai une sur deux. C'est déjà ça!

-Bon, alors Darwen tu as encore ton grand frère qui peut nous fournir de l'alcool et de quoi fumer? finit par demander Édouard qui n'avait pas encore ouvert la bouche.

Le concerné hoche la tête, ce qui me fait sourire. Le frère de Darwen est en dernière année. Cassian a 19 ans et connait plusieurs personnes avec qui négocier pour quelques grammes de cocaïne ou de quoi fumer. Pour l'alcool c'est facile, mais étant donné que nous sommes encore mineur, ça reste tout de même complexe.

Nous marchons tous l'un à côté de l'autre. Un groupe de huit gars ou devrais-je dire une famille. Car oui c'est ma famille depuis trois ans maintenant. Il y en a quelques uns que je connais depuis plus longtemps encore. Comme Zayan, Lyam et Tomas. Mes trois frères depuis presqu'une décennie maintenant.

-Regardez ceux qui s'en vienne... murmure Logan.

Au loin, j'aperçois Jasper et Dante. Les ennemis, les opposants. Ceux qu'on déteste depuis des années.

Mes poings se contractent et ma mâchoire se referme sur elle-même au point de me faire mal.

-Alors comment vous allez, les orphelins, nous demande Jasper avec un sourire au coin des lèvres.

Si il y a bien quelque chose que je déteste, c'est eux. Ces deux jeunes garçons de mon âge, qui sont dans la classe de Lyam. Ils s'en prennent à nous, car ils savent que la plupart d'entre nous on soit, perdu leurs parents, soit été abandonnés par leurs géniteurs et leurs génitrices. Alors, ils croient pouvoir intimider et harceler des personnes, car eux ont leurs deux parents présent dans leur vie.

Et ça je ne le supporte pas longtemps. Ils ''intimident'' Zayan et Ryan. Mais ils harcèlent et intimident vraiment Lyam. Ils créent des rumeurs et des bagarres. À chaque fois, qu'ils font ça, le reste du groupe ne sont souvent pas informé. Car Jasper et Dante choisissent les bons moments où l'on n'est pas dans les parages, pour s'en prendre à Lyam.

Deux contre un, ce n'est pas équitable. Et ça n'a jamais été équitable.

Surtout pas, lorsque que la victime est beaucoup moins forte qu'un seul des intimidateurs.

Les doigts me picotent, tellement l'envie de leur mettre une raclée, est forte.

Peut-être qu'ils ne s'en prennent presque jamais à moi, étant donné que je suis le fils du directeur. Mais moi, je n'hésite pas une seule seconde pour défendre les personnes que j'aime.

Pour défendre ma famille, celle que j'ai pu choisir et construire avec des simple lien d'amitié, auparavant.

Alors rien que pour cela, mon poing s'abat violemment sur le visage de Jasper.

Il pousse un gémissement bruyant en se tenant la joue. Il s'apprête à riposter comme nous tous. Les garçons se sont déjà placés derrière moi, prêt à attaquer. Mais la voix d'une jeune femme nous stop.

-J'espère que vous n'étiez pas entrain de vous battre?

La petite rousse, arrive en tombe à notre niveau. Les regards de Jasper et Dante se pose sur elle et leurs regards ne présage rien de bon. Je n'aime pas leurs regards sur elle. Si elle savait dans quoi elle vient de s'embarquer... Malgré cela, elle nous regarde comme une mère regarde ses enfants, lorsqu'ils font une bêtise. Elle a une visage colérique.

Elle va vraiment nous faire la morale?

-C'est qui cette jeune femme? demande intéressé Jasper.

La concernée fronce les sourcils et affiche une grimace de dégoût, alors que Lyam prononce plus que relevé:

-Personne qui ne soit si important, pour que tu l'as regarde comme un porc.

-Ohh, au dirait que Lyam se rebelle, murmure assez fort Dante pour qu'on l'entende.

-Je vois que je ne peux pas avoir l'information de votre part, alors on va demander la concernée! Comment tu t'appelles, ma belle? redemande Jasper.

Lyana prend tout son temps pour dévisager Jasper, ce qui me fait sourire. Elle finit par prendre la parole:

-Mon frère a raison, tu regardes comme un porc. Au dirait un prédateur sexuel.

Le sourire qu'affichait Jasper s'efface aussi vite qu'il est apparu. Il s'apprête à avancer dans sa direction, mais je le bloque, en me plaçant devant lui.

-Bouge Anderson! siffle-t-il.

Mon sang ne fait qu'un tour dans mes veines. Mes oreilles se bouchent et j'attrape le col de son chandail. J'approche ma bouche de son oreille et lui souffle:

-Tu oses t'en prendre à elle, on aura un gros problème toi et moi. Encore plus que ceux-là qu'on a en ce moment. Alors, ne lui parle pas et surtout, ne la touche pas.

Je lui assène un coup de poing dans le ventre. Le poing de Jasper se lève à une vitesse fulgurante, mais se fait stopper à temps, par la jeune rousse.

-Je ne veux pas de bagarre! Alors toi tu ranges ton poings et ton putain de regard pervers! Et toi, dit-elle en posant son index sur ma poitrine, me fessant reculer. Toi tu ranges aussi ton poing et arrête de chercher le monde.

Je la regarde droit dans les yeux. Elle est peut-être petite, mais elle a un sacré caractère. Les larmes aux yeux, elle me regarde avec une mine déçu et j'y perçoit également du dégoût. Comme si son toucher me brûle, j'enlève son doigt avec ce qui se rapproche à de la douceur, mais qui ne l'est pas.

Je me retourne vers Jasper et dit:

-Mon nom est Hamdy et non Anderson.

Encore remonté, je reprends le chemin qui mène au Nocturne, sans prendre la peine d'attendre les garçons.

______

Dix minutes, avant d'intervenir dans la bagarre.

Lyana

Toujours assise à côté de Sophia, nous rangeons mes vêtements.

-Vérité ou vérité?

-Vérité.

-Alors, première question! Tu habitais où, avant de venir ici?

-Je viens de Wood Green, c'est à environs une heure d'ici, je répond. Toi?

-Oh moi, j'ai toujours été ici, quoique quelques fois j'allais chez mon père qui vit à Walworth. C'est proche, dit-elle en haussant les épaules.

-Vérité ou vérité?

-Vérité.

-Est-ce que tu es contente que je sois venue à l'improviste et que tu dois te coltiner ma présence? je demande.

-C'est vrai que ne pas savoir que j'allais avoir une colocataire était cool. Tu te dis que tu as la chambre et la salle de bain à toi seule, c'est plaisant. Mais le fait de devoir être ''seule à longueur de journée'' n'était pas non plus ce que j'aimais le plus. Et tu as l'aire cool, j'veux dire, je pense qu'on va bien s'entendre.

Je lui souris, émue par sa réponse. Au moins, je sais que je ne suis pas comme un poids pour elle. Du moins pour le moment.

-Tu veux allez dans les question un peu plus intime?

-Ouais, pourquoi pas, au temps se connaître totalement, je dis en haussant les épaules.

Elle me sourit et je lui rends son sourire.

-Vérité ou vérité?

-Vérité.

-Est-ce que tu as déjà embrassée un gars? Ou une fille?

Je détourne le regard un peu honteuse de devoir répondre.

-Non... Aucun des deux...

Mes joues rougissent, alors que j'entends:

-Lyana, ne baisse jamais le regard.

Alors, je relève la tête et lui demande:

-Toi?

-Oui, mais c'était un fille. À vrai dire, c'était ma meilleure amie. Et je tiens bien au c'était. J'ai quittée mon école secondaire au milieu de l'année. En première, une semaine après l'avoir embrassé. Quand je suis partie, elle m'a écrit et m'a insultée en disant que je jouais avec ses sentiments, sans se dire que moi aussi j'ai souffert de ça. Mais qu'est-ce que tu veux? L'être humain a le don pour dire que les autres sont égoïstes, sans savoir les deux points de vue de l'histoire.

-Ouais, je suis d'accord avec toi... Quoi de pire que l'être humain, sérieusement. On s'insulte, se dénigre, sans savoir quel impact cela a sur la personne. On prive et vole la vie des gens. L'être humain viole et personne se dit qu'il faudrait les mettent derrière les barreaux. On vole la vie d'une personne, mais cela n'est pas grave, elle ou il s'est juste fait violer. Rien de grave!

-Tu vois c'est ça que j'aime chez toi. Ta perception des choses. Tu as une vue d'ensemble élargie et tu ne sembles pas être gênée de dire ce que tu penses. Il faudrait plus de personnes comme toi dans notre monde, ça serait tellement mieux...

Je regarde un point fixe devant moi. J'aimerai tellement débattre sur plusieurs sujets dit comme tabou, alors que non. C'est simplement comme ça que fonctionne la vie et la plupart des choses ont été créé pas l'être humain lui-même. Alors pourquoi avoir honte de parler de sa création? Le viole, la maltraitance, les problèmes de conduite alimentaires, la violence conjugale ou infantile, la dépression et j'en passe. Pour moi tout ça c'est important. Il faut savoir en parler, sans honte et être ouvert à ces sujets qui font parti de la vie.

De plus, j'ai quelques expériences avec quelques uns de ces sujets. En aucun cas je vais venir me vanter, car je souhaite à personne de vivre ce que j'ai vécue. Ce qui me fait penser, qu'il faut que je change mon pansement au ventre, sans semer de doute à Sophia.

-On change de sujet. Vérité ou vérité? me demande Sophia.

-Vérité.

-Si tu devrais t'écrire une lettre pour la toi du futur, qu'est-ce que tu lui dirais ?

Écrire quoi? Écrire si elle va mieux depuis? Si elle n'a plus besoin de voir le monstre qui lui fait faire des cauchemars? Si elle dort bien les nuits et si elle a arrêtée de faire des crises d'insomnies? Ou encore des crises d'angoisses et de panique. Que suis-je supposée me demander ou m'écrire pour la moi du futur?

Je me suis déjà posé la question plus d'un fois. Je me souviens d'une lettre que je m'avais écrit, il y a un an et demi. Je l'ai perdue et je ne l'ai toujours pas retrouvée. Mais maintenant, lorsque j'y repense j'écrirai la même chose que dans ma première lettre qui m'était désignée.

-Si j'ai réussie...

Sophia me regarde pendant un moment perplexe et finit par me demander:

-Réussir quoi?

Je prends une longues respiration et continue de regarder le mur de la chambre. Sophia finit par faire de même. Un sourire sans joie se plaque sur mes lèvres.

-À s'en sortir...

Elle se retourne vers moi prête à me demander des explications, mais elle se fait couper par un cri:

-Il y a une bagarre! Hamdy Anderson contre Fairfax!

Sophia se lève d'un coup et sort de la chambre à grande vitesse. Je la suis de près, jusqu'à dehors.

La rage monte en moi, en voyant ce qui se passe. Neuf garçons face à deux autres garçons. Dont un, qui se tient la joue, qui prend une teinte rouge, violet et un autre qui a toujours le poing en l'air. Parmi ces dix garçons, je remarque que mon frère en fait parti.

Non...

Pas toi, Lyam...

S'il te plaît, pas toi...

Si, il y a bien quelqu'un qui sait à quel point je déteste la violence, c'est lui.

Lui et papa...

Je laisse mes pensées prendre le dessus et m'avance dans leur direction.

J'entends Sophia me dire qu'il ne faut pas faire ça. Qu'il ne faut pas que je me mette dans le trouble, mais quand il est question de violence; on a toujours le choix. Alors j'avance plus vite encore.

Mon sang bouille dans mes veines en voyant le garçon à la joue coloré lever son bras pour riposter. Son bras se stop, en entendant ma voix colérique:

-J'espère que vous n'étiez pas entrain de vous battre.

Mes sourcils sont froncés en regardant les garçons qui m'entoure. Bien que je sois petite, j'ai l'impression de faire deux têtes de plus que chacun. Je les regarde uns à uns. Je les dévisage en attendant un réponse, mais rien.

-C'est qui cette jeune femme? demande un garçon dont je n'ai pas encore fais la connaissance.

Je fronce les sourcils en grimaçant. Son regard me donne envie de vomir mes triples. Un peu comme celui de l'hôpital... Un frisson de dégoût recouvre mon échine.

La voix de Lyam me parvient à travers mon dégoût apparent:

-Personne qui ne soit si important, pour que tu l'as regarde comme un porc.

-Ohh, au dirait que Lyam se rebelle, murmure fort un autre gars, que je ne connais pas non plus.

-Je vois que je ne peux pas avoir l'information de votre part, alors on va demander la concernée! Comment tu t'appelles, ma belle? redemande le garçon avec la marque au visage.

Je le dévisage encore un moment, alors qu'il me sourit comme un putain de pervers. Je sens la bile remonter lentement, alors que je prends tout le courage qu'il me reste pour lui dire:

-Mon frère a raison, tu regardes comme un porc. Au dirait un prédateur sexuel.

Le sourire qui recouvrait son visage, disparait. D'un coup, il s'avance vers moi et je recule sans en prendre vraiment conscience. Les larmes commencent à me brouiller la vue. Il affiche la même colère que maman, lorsqu'elle veut me faire mal... Cependant, il se fait arrêter par le bras d' Adam. Mon monstre numéro deux, siffle entre ses dents:

-Bouge Anderson!

Anderson?!

Il ne s'appelle pas Hamdy?

Tout se passe très vite, Adam le prend par le col et le soulève de quelques centimètres. Il semble perdu dans sa colère et il lui souffle quelques paroles incompréhensible à l'oreille. Il lui assène un nouveau coup, et cette fois-ci elle celle de trop. Le bras du monstre se lève et je le stoppe avant qu'il finisse par blesser quelqu'un d'autre.

-Je ne veux pas de bagarre! Alors toi tu ranges ton poings et ton putain de regard pervers! Et toi, je lui dis en me retournant dans sa direction rouge de colère, en posant mon doigt sur sa poitrine. Toi tu ranges aussi ton poing et arrête de chercher le monde.

Je le regarde, les larmes aux yeux. Si il y a bien un truc que je déteste au plus haut point, c'est ça. La violence. Alors oui, il me répugne. Rien que pour sa violence, il me répugne. Il enlève mon doigt de sur lui, avec aucune violence, pour une fois.

Son regard quitte le mien pour plonger dans celui du mec avec qui, il était près à se battre jusqu'au sang. Je l'entends articuler:

-Mon nom est Hamdy et non Anderson.

Après à peine avoir finit de parler, il commence à marcher en direction inverse de l'Académie.

Je me retourne vers mon frère, lui sourit, d'un sourire faussement calme et pars rejoindre Sophia qui a regardée la scène de loin.

......

18h16

Le directeur m'avait donné des documents qu'il fallait que je lise avec l'explication de mon emplois du temps, en plus du fonctionnement de l'Académie et etc. En plus de mon uniforme et devinez quoi? Il y a une putain de jupe et des collants avec une chemise, une cravate et un veston. J'ai deux fois la copie de l'uniforme de couleur vert forêt. Avec ça j'Ai également mes vêtements de sport, qui se consiste d'un simple chandail. Le directeur m'a dit que c'était parce que tu avais le droit de mettre n'importe quels pantalons; temps qu'il respect les contraintes dans le code vestimentaire.

Puis quoi de mieux que regarder les documents que monsieur le proviseur m'a remis, maintenant. De toute façon je suis seule dans la chambre pour le moment.

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Mademoiselle Roy,
Heureux de vous dire, que vous avez été accepté dans l'Académie Anderson.
Cette Académie de prestige, va faire de vous une futur tueuse à gage.
Ici, nous ne formons pas de simples étudiants. Nous façonnons des armes humaines, des ombres insaisissables, capables de s'adapter, d'observer et d'éliminer sans laisser de traces. Votre formation sera exigeante, impitoyable. Seuls ceux qui prouvent leur valeur survivent à l'Académie.

Dès votre arrivée, vous serez soumise à un programme intensif, divisé en plusieurs domaines clés :

Les Cours de l'Académie (Explication avec exemple)
1. Discrétion et Infiltration
Dans une zone de la forêt spécialement aménagée, les apprentis apprennent à se déplacer sans un bruit, à fusionner avec les ombres et à se camoufler avec la nature environnante. Marcher sans laisser d'empreintes, masquer son odeur, retenir sa respiration pour éviter qu'un chien ne détecte leur présence... Chaque détail compte. La nuit, ils doivent atteindre un objectif désigné sans être repérés par les instructeurs, qui patrouillent dans l'obscurité, équipés de lunettes thermiques.
2. Combat Silencieux
Sous un immense dôme en béton souterrain, l'Académie dispense l'art du combat rapproché. Poignards, fils à garrot, épingles empoisonnées et même les mains nues : chaque élève doit apprendre à tuer vite et proprement, sans bruit, sans hésitation. Les meilleurs se spécialisent dans l'assassinat instantané, là où une simple pression au bon endroit pouvait éteindre une vie en un souffle.
3. Maîtrise des Armes
Le stand de tir donne sur une vallée encaissée, où les détonations se perdent entre les montagnes. Ici, on ne tire pas seulement pour toucher : chaque balle doit être un message. Carabines à longue portée, armes de poing modifiées, fusils avec silencieux intégrés... Les élèves doivent savoir quelle arme utiliser selon le type de cible, l'environnement et le message à envoyer à ceux qui découvrent le corps.
4. Stratégie et Manipulation
Un bâtiment aux vitres teintées, surnommé "La Chambre des Esprits", est dédié à la psychologie et à l'art de la manipulation. Un tueur n'est pas toujours un homme de l'ombre : parfois, il est celui qui murmure à l'oreille des puissants, qui provoque une chute sans jamais avoir à lever une arme. Apprendre à lire les failles humaines, à séduire, à menacer sans que la menace ne soit explicite, à créer une confiance avant de la trahir... Tout cela fait partie du programme.
5. Résistance et Survie
Le lac noir, profond et glacial, était le théâtre d'un des entraînements les plus redoutés : survivre en terrain hostile. Les élèves y sont parfois jetés, les mains liées, et doivent trouver un moyen de regagner la rive sans paniquer. La forêt environnante sert aussi de terrain de chasse et de repaire : certains apprentis sont envoyés seuls, sans instructions, avec pour seul objectif de survivre une journée ou plusieurs, en évitant les patrouilles d'instructeurs traquant la moindre erreur.

Je vous invite à lire les autres documents qui explique votre emplois du temps et le fonctionnement de l'académie.

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L'Académie Anderson est un établissement d'élite, destiné à la formation des tueurs à gages les plus redoutables. Cachée au cœur d'une forêt dense, bordée par un lac sombre, elle semble ordinaire de l'extérieur, mais son régime strict et son enseignement rigoureux la distinguent de toute autre institution.
L'Académie est divisée en cinq années de formation, chaque année correspondant à une tranche d'âge et un niveau de difficulté croissant.
Première année (14 ans)
Deuxième année (14-15 ans)
Troisième année (15-16-17 ans)
Quatrième année (17-18 ans)
Cinquième année (18-19-20 ans)
Zones Spécialisées
L'Académie dispose de plusieurs zones clés :
Le Complexe Principal : Contient les salles de classe, les dortoirs, la cafétéria et les bureaux administratifs.
L'Arène d'Entrainement : Conçue pour les combats en situation réelle.
Le Stand de Tir : Destiné à la maîtrise des armes à feu et des armes blanches.
Le Secteur d'Infiltration : Un espace labyrinthique pour s'exercer à la discrétion et l'espionnage.
La Salle de Stratégie : Un centre d'analyse tactique pour l'apprentissage des stratégies d'attaque et de défense.
Le Pavillon des Troisièmes Années : Un espace de détente et de discussion réservé aux élèves de troisième année et plus.
Règlement et Code de Conduite
Obéissance absolue : Les ordres des instructeurs et des supérieurs doivent être respectés sans discussion.
Discrétion et secret : Tout élève surpris à divulguer des informations sur l'Académie encourt des sanctions.
Échecs et faiblesses ne sont pas tolérés.
Participation obligatoire aux missions et à l'entraînement.
Tout manquement au règlement est sanctionné par des mesures disciplinaires strictes.
Description de l'Emploi du Temps
L'emploi du temps est conçu pour former des élèves endurants, stratèges et efficaces.
Exemple d'une semaine type :
Matin : Cours académiques (mathématiques, sciences, histoire, langues) et formation théorique sur la manipulation et la stratégie.
Après-midi : Entrainement physique intensif, combat en arène, maîtrise des armes et infiltration.
Soir : Pratique de l'art du silence, simulation de missions et évaluation des performances.
Fin de semaine : Missions supervisées et repos limité.
Les élèves en fin de formation participent à des missions réelles sur le terrain sous la supervision d'agents confirmés.
Discipline et Sanctions
La discipline à l'Académie Anderson est stricte. Toute infraction est sanctionnée de manière immédiate :
Avertissement verbal pour les fautes mineures.
Missions punitives en cas de non-respect des règles.
Exclusion temporaire des cours et des missions pour faute grave.
Expulsion définitive pour trahison ou mise en danger de l'institution.

L'Académie Anderson ne forme pas simplement des tueurs à gages, elle forge des élites. Chaque élève qui intègre cette institution doit comprendre qu'il ne s'agit pas d'une simple école, mais d'un mode de vie où la faiblesse et l'échec ne sont pas une option. Seuls ceux qui possèdent une volonté de fer en sortiront vivants et prêts à embrasser leur destin.

K.A. : Ce document est strictement confidentiel et ne doit en aucun cas quitter l'enceinte de l'Académie.

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Si vous avez des questions ou vous n'êtes pas sûr de bien comprendre les documents que vous venez de lire; n'hésitez pas à venir me voir à mon bureau.

Le document 4 est votre emplois du temps pour l'année. Vous ne  pouvez ni le modifier, ni séchez les cours, car nous en serons immédiatement avertis. Toute absence non justifiée entraînera des sanctions sévères.

Rituels d'intégration
Dès votre arrivée, vous serez soumise à un test d'évaluation visant à mesurer vos capacités actuelles. Ce test ne se limite pas aux connaissances académiques ; il inclut également des épreuves physiques, mentales et stratégiques. Échouer, c'est déjà reculer.
Nous attendons de vous une discipline exemplaire, une progression constante et une adaptation rapide aux exigences de l'Académie.

Bienvenue à l'Académie Anderson.
Vous n'êtes plus une simple élève. Vous êtes une recrue.

À très bientôt,
Directeur de l'Académie Anderson
Merci de votre compréhension, cordialement Karl Anderson.
Votre proviseur.

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Où est-ce que je suis tombée...

Éducation et formation de tueur à gage.

Mais quoi?!

Je savais que cette académie n'était pas normal, mais là... Impossible.

Je secoue frénétiquement la tête de droite à gauche.

Je ne suis pas capable d'ingérer l'information. Toute les personnes autour de moi, vont devenir des tueurs à gages. Toute les personnes autour de moi, savent dans quoi ils se mettes. Mon frère m'a quitté, il y a deux ans pour venir intégrer cette Académie. Mon père m'a fait intégrer cette Académie à mon tour...

Mon frère ne peux pas être dans ça. Il me l'aurait dit. C'est sûr, c'est sûr.... C'est sûr...

C'est à ce moment là, que décide Sophia de faire son entrée.

-Salut ma coloc', t'as bien man-

Elle se stoppe et fronce les sourcils en s'avançant vers moi.

-Qu'est ce qui se passe? demande-t-elle inquiète.

Je la regarde pendant un moment en me disant, qu'elle sait qu'ici c'est une Académie pour former des futurs tueurs à gages et elle trouve ça normal. Elle fait comme si tout était normal.

Des putains de tueurs à gages!

Cette Académie forme des PUTAINS DE TUEURS À GAGES.

Non, c'est impossible!

-Tu... Tu sais... que....

-Que quoi, me demande-t-elle perplexe.

-Que tu es ici pour devenir... une tu- tueuse à gage?

Elle souffle soulagée en posant sa main sur sa poitrine. Je fronce les sourcils ne comprenant pas pourquoi elle réagie de cette manière, puis elle me dit:

-Tu m'as vraiment fait peur! Putain, Lyana il y a pas à faire des frayeur comme celle-ci.

-Non, mais je suis sérieuse. Tu savais que cette Académie... Enfin... qu'il vise à former des tueurs à gages.

Elle me regarde blasée, la tête penchée sur le côté pendant un moment, avant de me dire:

-Tu penses vraiment que je suis venue ici pour le plaisir? Mes parents m'y ont forcés. Ils m'ont informés du programme de l'Académie juste avant de rentrer. Puis j'ai dû m'y habituer seule, sans personne. Un peu comme toi... Mais je n'avais ni mon frère, ni ma sœur.

Je reste un moment muette en analysant ses paroles.

Elle n'avait pas été informé de l'Académie, plus tôt.

Et en plus, elle a des frères et sœurs.

Putain, je me sens vraiment conne.

Putain de conne, d'avoir mis autant d'attention sur moi. Parce que j'aurais pu avoir su avant qu'elle aussi elle avait vécue, ce que je vis en ce moment.

Je suis conne.

Conne.

Conne.

Putain de conne.

-Désoler, je ne voulais pa-

-Arrête de t'excuser pour rien! Tu n'as rien à te reprocher, Compris? me gronde-t-elle avec les traies du visage tirés, qui lui donne un aire sévère.

Je hoche la tête, alors qu'elle me demande:

-Je veux des mots, Lyana!

-Oui, j'ai compris.

Ses traies s'adoucissent et elle finit par me sourire.

-Je vais être là pour toi. Je te l'assure. Dans les moments triste comme dans les moments de joie ou encore dans les moments d'angoisse.

Je ferme les yeux pour faire disparaître les larmes qui se sont créés.

-Merci...

-Ça fait plaisir! Maintenant, tu as bien mangé ce que je t'ai amenée?

Je détourne le regard vers le coin de mon bureau et regarde un moment le sandwich emballé posé sur celui-ci. Je n'y ai même pas touchée, depuis qu'il a touché la surface du bureau.

-À vrai dire, je l'ai oubliée...

Je souris gênée, en tournant mon visage dans sa direction. Sophia me fusille du regard en me menaçant:

-Tu vas manger ce putain de sandwich, Lyana. Et au complet pendant que je t'explique ce qui va se passer cette semaine avec les cours et tout. Parce que crois moi ,je vais te le faire bouffer moi-même, ce sandwich. Je me suis fait bien comprendre?

Je hoche la tête, puis dis en me souvenant qu'elle a besoins me l'entendre dire:

-Oui, j'ai compris.

-Bien!

Elle prend mes documents et les survolent du regard, jusqu'à tomber sur mon emplois du temps.

-Tu sais comment ça fonctionne, exactement?

Je secoue le tête de droite à gauche en disant:

-Il ne l'expliquais pas trop dans les documents. Seulement les cours moins... moins normaux. Si je peux dire ça comme ça.

Elle me tends la feuille que je regarde un moment.

-Alors pour commencer, tu vois qu'il n'y a pas de pause et c'est normal. Tu as géné ralement un cinq à dix minutes, dépendant tu es à quelle période et surtout tu as eue quoi avant et etc. Les profs' te laisse un cinq minutes à la fin du cours pour prendre tes affaires et partir. C'est souvent à ces moments que tu poses des questions et etc. Ils te laissent aussi deux à trois minutes avant que le cours commence et ces minutes ne conte pas pour du retard. Par exemple, lorsque tu dépasses ces deux à trois minutes, tu obtiens un manquement. Tu as compris?

Je penche la tête sur le côté et essaie de rectifier ce dont je me souviens:

-Alors on a cinq à dix minutes de pause entre chaque cours, pour aller à l'autre et si on arrive deux à trois minutes au début du cours, lorsque celui-ci a commencé, ce n'est pas compté comme des retards; à part si on dépasse ce temps?

Sophia sourit et hoche la tête fière de ses explications.

-Bien! Maintenant les manquements sont aussi simple à comprendre. Si tu arrives à plus de cinq manquements, tu as une retenue d'une heure à la traverser.

-Un peu comme dans un secondaire normal, haussais -je les épaules indifférente.

La brune hoche la tête et continue ses explication:

-Le matin tu as une heure trente pour manger et te préparer avant ton premier cours. Ensuite tu as un petit cours de tente minutes pour commencer à te plonger dans ta journée. Après tu as deux heures de cours. Ta pause du midi où tu manges dure une heure trente aussi et tu repars pour deux heures de cours; et c'est le moment que tout le monde déteste: le une heure trente de cours.

-Il a vraiment un une heure trente de cours constitutif?

Sophia hoche la tête en grimaçant.

-Mais, on a deux heures trente pour manger le soir et faire nos devoirs. Après, ça c'est si tu as des missions et bien tu seras avertie le mardi et tu devras une heure de statistique et etc. pour planifier avec ton coéquipier ou ta coéquipière le fonctionnement de ta mission. Il y aura souvent, monsieur Cooper pour vous aidez.

-Et la plupart du temps, tu pars le vendredi pour faire ta mission, ai-je compris.

-Exactement!

Je hoche lentement la tête comme pour essayer de tout me souvenir et finis par me lever.

C'est fou comment je n'ai plus mal au ventre, mais ça c'est à cause des médicaments qu'il faut impérativement que je prenne deux fois par jour, maximum trois fois par jours dépendant de la douleur.

Ce qui me fait penser qu'il faut que j'ai changer mon pansement.

-Il est presque dix-neuf heures, je vais aller à la douche, m'informe la brune aux cheveux courts. tu as besoins d'aller au toilette?

-Non, merci. Bonne douche.

Elle m'offre un petit sourire et prend son pyjama, ainsi qu'une de ses trousses de toilette. Elle s'enferme dans la salle de bain, me laissant seule dans ma nouvelle chambre.

Je repose mon regard sur le sandwich qui n'a pas bougé, depuis et je finis par le prendre dans mes main et l'ouvre. L'odeur s'invite dans mes narines et alors que j'approche la nourriture da ma bouche, un haut le cœur me prend et je m'oblige à éloigner le sandwich de moi. Je réessaie une nouvelle fois d'amener l'aliment à ma bouche, mais il met impossible d'ouvrir la bouche pour prendre une bouchée, sans que le cœur ne me lève. Une nausée affreuse me prend de plus en plus en regardant le sandwich. Je finis par le remettre dans son emballage et le jeter dans la poubelle qui se trouve à côté de mon bureau.

En espérant que Sophia ne remarquera pas que je n'ai pas mangée ce qu'elle m'a donnée.

Je suis désolée Sophia et même si tu m'as demandée de ne pas m'excuser pour tout et rien; je tiens à m'excuser pour ça...

......

Lundi, 8 Septembre, 9h25.

Lyana

-T'en fait pas, tout va bien se passer! m'assure Sophia. Du moins, temps que tu restes avec moi.

Je lui fais un faible sourire, les lèvres pincées.

Mon uniforme me met mal à l'aise. Cette jupe aux couleurs vert forêt et noire est belle, mais pas sur moi. J'ai toujours détestée les robes et les jupes, depuis mon plus jeune âge. Et je suis persuadée que cela ne va en aucun cas changer. Je n'arrête pas d'abaisser ma jupe, mais c'est une peine perdue. La chemise blanche que je porte, ne me dérange pas, c'est peut-être la seule chose que j'aime bien, dans tout ce que je porte en ce moment. Puis il y a le veston, qui est de la même couleur que la jupe.

Sophia m'a dit que les couleurs de nos uniformes, sert à nous classez en année. Elle m'a dit que l'année dernière, son uniforme était orange; et je n'ai peux me retenir de pouffer de rire. Elle a même prit le temps de me montrer une photo.

J'ai été surpris, lorsque Sophia m'a dit que les téléphones portables étaient autorisés dans l'Académie en tout temps. Sauf que j'ai moins aimée, lorsqu'elle m'a dit qu'il y avait un contrôle sur chacun des électroniques de l'immense institue Anderson. Et ce contrôle ne nous permet pas d'envoyer de messages aux personnes en dehors de l'Académie, à part si se sont nos parents ou nos tuteurs/mentors.

Avec étonnement j'ai remarquée, ce matin vers 6h15, des beaux messages de ma mère. Des belles menaces et de beaux mots pour me dire que si je ne revenais pas, elle allait venir vers moi, par elle-même. Ces menaces ont durés près d'une bonne heure. J'ai finis par lui dire de s'expliquer avec papa et de me laisser tranquille. Après ça, plus aucun message. Aucun.

Sophia finit par s'arrêter devant une table à la cafétéria. Je regarde les personnes qu'il y sont et bien évidemment, se sont les garçons. Je recherche du regard mon frère et m'avance vers lui, en étant toujours mal à l'aise avec mon nouvel uniforme.

-Aide-moi, sifflée-je à mon frère en me pointant du doigt.

Mon frère me regarde blasé, avec un sourcil haussé.

-Quoi, il te va bien l'uniforme.

Je le dévisage en grimaçant. Puis, je pointe ma jupe en disant:

-Tu as vue cette horreur et tu penses sérieusement qu'il me va bien! Regarde cette putain de jupe! chuchotais-je désemparée.

-Je pense surtout qu'il faudrait que tu prennes confiance en toi, Lyana.

-J'essaie... J'te jure, j'essaie.

-Oui bon, on en reparle plus tard, dit-il en me prenant dans ses bras.

Je le serre contre moi et me détache après quelques secondes.

-On se voit ce midi, me dit Lyam en posant ses mains sur mes épaules et en me regardant droit dans les yeux.

J'acquiesce lentement et me dirige vers Sophia qui parle avec Adam et Édouard, si je me souviens bien, alors que Lyam part du sens inverse.

Sophia me sourit en me voyant arriver et me dit en me donnant ma trousse à crayon:

-Prête pour ta première journée?

Je regarde un peu autour de moi, jusqu'à ce que mon regard se coince dans celui du jeune brun, aux yeux bleus sombres.

-Je suppose.

Un rictus se forme sur la bouche du brun en entendant ma réponse.

✿

Salut, salut! 🦋

J'espère que vous allez bien et que vous avez aimé ce chapitre!

Moi je kiffe écrire en ce moment! En une semaine, je fais plus de 5400 mots, en plus des devoirs et de l'école. Alors je vous jure que j'aime trop, sinon le chapitre ne serait pas là sous vos yeux!

Je lis également deux livres en ce moment:

-Charlotte de David Foenkinos ( il me reste 11 pages à lire et je ne blague pas) en papier.

-Nostalgia de notre Léa préférée @lea_nemezia . ( je suis rendue à la moitié et qu'est ce que j'adore Heather et Alexou!) Sur Wattpad et bientôt papier.

Sinon, je souhaite savoir si vous aimez la longueur des chapitres et etc. Si il y a quelque chose que vous n'aimez pas trop, ou quoi que ce soit dites le moi, je suis prenante!

🌼J'aimerai avoir vos théories et impression sur ce chapitre!!! 🍁

N'hésitez pas à faire des remarques,

Bien sûr avec bienveillance,

S'il vous plaît.

IG: sarah_maude.12

Désoler pour les fautes.

S-M✿