Diane :
Quand j'étais petite, mes parents n'étaient pas présents. À vrai dire ils ne l'on jamais étaient...
Je n'ai jamais connu mon père, il est parti à ma naissance en prétendant qu'il aller chercher ma sœur. Il n'est jamais revenu. C'est comme si j'avais un vide en moi, comme si je n'étais pas complètement complète...
Ma mère elle ne m'a jamais apporté d'attention elle ne sait jamais remise du départ de mon père elle était là sens être la. Elle criait souvent s'énerver pour rien. Par moment je préférée rester dehors sous la pluie que franchir le seuil de la maison.
Des fois elle rentré bourré incapable de dire une seul phrase, de prononcer un seul mot. D'autre fois elle était simplement sur le canapé une seringue à la main et de la poudre blanche sur la table.
Ma sœur a fini par se défaire de c'est liens toxique et elle est parti quand j'avais 7ans. Je l'ai supplié de ne pas me laisser, de ne pas m'abandonner dans se trou noir qui était mon chez moi. Mais elle m'a simplement regardé d'un air triste mais toujours en souriant et m'a dit "ne t'en fais pas petite sœur je reviendrai"
Elle n'est jamais revenu.
Aujourd'hui elle vit à l'étranger, elle a une maison propre un mari, deux enfants qui vont à l'école, une vie comme dans les catalogues.
On se parle de temps en temps quand elle y pense, elle me demande comment je vais. Je réponds que ça va. Toujours.
J'ai voulu devenir professeur parce que je voulais rendre la main à ceux que personne ne regarde. Mais tout en gardant cette distance. Je voulais être la c'est tout.
Mais depuis que j'ai découvert que mon mari me tromper depuis 2 ans j'ai tout arrêté.
J'ai tout fermé, mon cœur, mon esprit, tout.
J'ai ris des murs. Plus hauts, plus solide. Même ceux pour qui j'ai décidé de couper la ligne familiale. Surtout pour eux.
Et maintenant... elle est là.
Assise dans mon salon.
Alba.
Une élèves. La première à qui j'ai ouvert la porte depuis des années.
Une voix douce me sort de mes pensées :
-tout va bien vous avez l'air triste
Ça voie me fait rire, elle parlait la boucha à moitié plaine de cookie
-Tout va bien ma belle, ne t'en fait pas, toi ça va un peut mieux ?
Le mur de glace qui s'était créé à son réveille c'est éteint comme si le feux brûler juste à coté.
-Ho... Eu... oui ça va mieux, je pense que je suis prête à rentrée chez moi..
Elle attrape ses affaires d'un air mou et repart en direction de la porte
-tu ne va pas en cours
-Non
-Et pourquoi ?!
-J'y vais pas point. Vous n'êtes pas ma mère.
-Je ne suis peut être pas ta mère, mais moi j'étais là hier ! Et tu es chez moi aujourd'hui. Alors tu vas en cours !
-Non !
-Si !
Elle est en colère, elle est plutôt mignonne quand elle est en colère..
Non mais qu'est ce qu'il me prend !
-Tu as réson je ne suis pas t'a mère fait ce qui te chante.
Alba me regarde, c'est yeux son rivé dans les miens. Je ne sais quoi faire et la regarde partir lentement. Lorsque son corps disparaît derrière la porte, je ressens comme un vide d'un mois, une absence.
En une matinée, j'avais retrouvé ce que j'ai mis quatre ans à chercher.
Va-t-elle m'en reparler ?
Je suis sa prof après tout, et je suis guère intéressante.
Mais je ne sais pourquoi, je la vois, elle plus que les autres.
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Je suis désolé du retard pour ce chapitre...
Et aussi désolé si il n'est pas comme les autres mais c'est assez compliqué d'écrire en se moment, je fait de mon mieux !
Bisous, à bientôt pour la suite 😘