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W_stella911
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CHAPITRE 15

PDV de Zeyla :

Quand je suis rentré chez moi, mes parents m'ont sauté dessus. Ma mère s'est excusé au moins 46 fois pour ne pas avoir vu que j'avais de la fièvre, mais je l'ai vite rassurée en disant que ce n'était pas sa faute.
Et après ça, je suis directement allée dans mon lit pour aller dormir car j'étais crevé.

Aujourd'hui, la fièvre a reculé, mais je suis encore engourdie. Ma gorge râpe un peu moins, ma tête ne tourne plus autant qu'avant, mais impossible de dormir. Allongée sur le dos, je fixe le plafond plongé dans l'ombre. Mon corps est moite sous la couette, et je n'en peux plus de rester enfermée dans cette chambre qui sent le renfermé et le thé au miel.

Je repousse les couvertures et me redresse lentement. L'air frais contre ma peau me fait frissonner, mais c'est agréable après des heures à transpirer sous les draps. Pieds nus, je descend les escaliers en retenant ma respiration pour ne pas réveiller toute la maison.

Dans la cuisine, une lumière blanche éclaire la pièce. Ma mère est devant le cuisinière, une louche à la main, occupée à remuer quelque chose dans la casserole. L'odeur d'un bouillon empli l'air, d'une manière réconfortante.

Elle tourne la tête en entendant mes pas.

- Tu es debout ?

Sa voix est douce, un peu surprise. Elle pose la louche et s'approche aussitôt, sa main fraîche venant se poser sur mon front. Son regard s'adoucit.

- Ta fièvre a baissé.

J'hoche la tête, un peu soulagée moi aussi. Elle retourne à son bouillon et m'indique une chaise d'un geste du menton.

- Installe-toi, c'est bientôt prêt.

- Merci, maman.

Je m'assois en ramenant mes jambes contre moi, les bras enroulés autour de mes genoux. La chaleur de la cuisine me détend.

Puis elle reprend, d'un ton curieux et légèrement amusé :

- Oh, au fait... Un très beau jeune homme est passé pendant que tu dormais.

Je relève brusquement la tête.

- Quoi ?

- Il a déposé tes cours...et un petit mot aussi.

Mon cœur rate un battement. Je me lève d'un bond et balaye le plan de travail du regard. Ça me prend que quelques secondes pour repérer une pile de feuilles soigneusement posée à côté d'une enveloppe pliée en deux. Mon estomac se contracte d'excitation tandis que je tends la main. Je reconnais immédiatement l'écriture sur le papier.

C'est lui.

Mes doigts tremblent un peu quand je déplie le mot.

"J'espère que tu vas mieux. On s'inquiète pour toi. Hâte de te revoir au lycée."

Signé : beau brun ;)

Un sourire étire lentement mes lèvres. Il a pensé à moi. Il a pris la peine de passer, et de m'écrire. Mon cœur cogne contre ma poitrine, et une chaleur douce envahit mon ventre, diffusant une sensation à la fois délicieuse et troublante.

Je relis le mot encore et encore, incapable de m'en détacher. Son écriture, ces quelques mots... C'est stupide, c'est juste un message poli, et pourtant, il a ce pouvoir insensé de me faire fondre sur place.
Ma mère m'observe du coin de l'œil, un sourire amusé sur les lèvres.

- Il t'intéresse, ce garçon ?

Je lève les yeux vers elle, le rouge aux joues.

- Maman...

Elle rit doucement et retourne à son bouillon, me laissant dans mes pensées.
Je serre le petit mot entre mes doigts, le cœur léger, frémissant d'une nouvelle énergie. Pour la première fois depuis le début de cette fichue grippe, j'ai hâte de retourner au lycée.

Au final, je ne suis pas allé en cours le lendemain. Ni le surlendemain. Ça n'empêche que j'ai rattrapé mes cours sous les ordres de mon père, évidement. Et grâce aux feuilles qu'Élio m'a apporté, évidemment.

Nous sommes donc mercredi après-midi et je retourne aujourd'hui en cours avec ma petite valise pour l'internat.

***

- Tu as commencé une nouvelle toile ? Demandais-je à ma colocataire en rentrant dans la chambre.

- Mmh. Mais j'ai pas d'inspiration ! Se plaint-elle, la tête en arrière.

Je range mes affaires dans l'armoire avec rictus. Elle se plaint mais dans deux secondes, elle aura trouvé son idée.

...

......

.........

- PUTAIN MAIS OUI ! POURQUOI J'Y AI PAS PENSÉ PLUTÔT !!! S'écrit-elle en se redressant rapidement.

Et voilà, qu'est-ce que je disais.

- Mais je le ferais une autre fois. Il faut que je rachète du matériel de toute façon, et puis on doit rejoindre les autres à la salle de repos en bas.

Je lui sors un bref « oui » en prenant mon téléphone et nous partons de la chambre.
Une fois en bas, je remarque Kaliopé, Cameron, Layla et Sean dans un canapé, Alexander avec Will sur ses genoux et bras autour de sa hanche sur un fauteuil ainsi que Élio en compagnie de Shawn sur un autre canapé proche des autres.
On s'approche d'eux et à ma plus grande et immense surprise, ma meilleure se dirige vers son blondinet, s'installe à côté de lui et dans la seconde qui suit, le garçon à ses côtés passe un bras autour de sa nuque.

Non mais qu'est-ce que j'ai raté en deux jours, moi ? Une conversation s'impose, et rapidement.

Je m'installe donc à la dernière place restante, c'est à dire à côté de Élio. Je pourrais presque me demander si c'est pas fait exprès quand même.

- Alors, comment va la malade ? Me demande t-il a l'oreille.

- Bien mieux, mon cher. Répondis-je, sur le même ton.

- Et bien ravis de le savoir. Votre absence a fait naître chez moi, un manque insoutenable de votre personne, ma chère. Ajouta t-il, un bras passé sur mon épaule.

- Oh vraiment ? C'est que je dois être une personne bien importante pour vous dans ce cas.

- Tu n'imagines même pas à quel point. Murmure t-il assez fort pour que je l'entende.

Il me dépose un bisou sur la tempe et tourne la tête vers son meilleur ami pour reprendre sa conversation précédente.
Je crois que si les tomates humaines existaient, j'en serais sûrement une à l'heure qu'il est.

- Au fait, j'ai pas eu le temps de te remercier pour les cours et...ton mot.

Il sourit doucement et approche sa tête de mon oreille.

- C'est rien. Ça m'a fait plaisir.

- Mais sérieusement, "beau brun" ? Chuchote-je en riant légèrement.

Un sourire en coin apparaît sur sa bouche et il répond :

- C'est ce que je suis, non ?

J'allais répondre mais, malheureusement, ce magnifique moment est coupé par un couillon qui arrive en courant. C'est à dire Max.

- Bon écoutez moi ! J'ai absolument besoin de votre aide !! Dit-il précipitamment.

- Si c'est pour cacher un corps, désolé mais je suis trop jeune pour aller en taule. Répond ma colocataire, le nez sur son téléphone.

- Hein ? Mais qu'est-ce que tu racontes toi ? J'ai pas de corps à cacher aujourd'hui. Bref-

- Comment ça « aujourd'hui » ?? C'est que tu en cache d'habitude. L'interrompais-je brutalement.

- Tu n'es pas prête à connaître cette information. Rétorque t-il mystérieusement. BREF ! Arrêtez de me couper la parole. Je disais donc, mon petit frère qui est en Troisième, m'a envoyé un DM de maths qu'il n'a pas compris et il m'a demandé de lui expliquer. Sauf que je suis une brêle en maths et que ça fait presque 20 minutes que tente désespérément de comprendre, donc...AIDEZ MOI PAR PITIÉ !!!!

- C'est seulement ça ? Bah vas-y montre, je vais t'expliquer en même temps. Tu peux pas être si nul que ça en maths. Dis-je en me levant.

- MERCI TU ME SAUVES LA VIE !!

Il s'assoit par terre et pose un cahier ainsi qu'un stylo sur la petite table basse tel un enfant qui attend qu'on lui donne les consignes. Il me donne son téléphone ou se trouve les exercices du DM de son frère.

- C'est bon j'ai compris, c'est pas très compliqué. Commençais-je. Je vais essayer de t'expliquer en même temps, ok ?

- Ouuuuh ça va être intéressant !!!! S'exclame Layla impatiente, tout en se redressant sur le canapé.

- Et bah bonne chance, c'est une vrai cause perdue en maths. Intervient Cameron.

- Mais nonnnn ! Ça va le faire, tout le monde sait se débrouiller un minimum en maths quand même ! Bon tout d'abord, les maths ça se travaillent avec patience et constance !

- Constance ? C'est qui Constance ?

- Bah Constance, c'est pas clair ?

- Bah pourquoi tu parles d'une Constance, il n'y a pas de Constance dans l'exercice, si ?

Oh putain, ça commence mal... Ça va être dur, je le sens. Très dur même.

- Okkkk passons !! On va faire les questions, si on veut les réponses, il faut toujours s'y mettre !

- Toujours 6 mètres ?

- Oui ! Alors, la racine de 25 ?

- 6 mètres.

- Mais non, 5 !

- Mais tu viens de me dire, toujours 6-

- Ok, next ! Tu y arrives en trigo ?

- En tricot ? Bah j'ai essayé de faire un pull une fois...

- Non, t'es en train de perdre le fil là !

- C'est le problème en tricot.

- Bon on va tenter autre chose. Tu sais ce que c'est un facteur ?

- Bah oui, c'est un monsieur qui...

- En nombre.

- Ah bon ?

- Dans un produit de nombre.

- Wouaw ! Pour moi c'était un monsieur qui distribue le courrier. C'est dingue ça !

Est-ce qu'il sait faire autre chose que d'être débile ? Parce que c'est pas possible d'avoir un niveau pareil en maths alors qu'on est en Terminale !

- Ok, autre chose. Tu as un triangle rectangle de côté 5,45 et de 50, et là tu as un inconnu. Tu le calcules ?

- Non, je les calcule pas les inconnus en général.

- Mais si tu le calcules !

- Ok ok !

- Sinon, tu as déjà utilisé Thalès ?

- Oui. Pour sortir mon chien.

- Hein ?

- Pour éviter qu'il morde le facteur. Enfin le nombre de produit de nombre, qui distribue le courrier...?

- Je vois pas le rapport ? Tu me racontes quoi là ?

- Alors là, moi non plus. Mais je m'y perd aussi dans tes trucs !

- Écoute, tu as un triangle rectangle de côté 5,45 et de 50, que vaut l'inconnu ?!

- 6 mètres !!

- Mais d'où tu me sors ça ?!

- Bah, tu as dit qu'il fallait toujours 6 mètres donc heu...

Ok, j'abandonne.

- C'est bon ! J'abandonne, tu es une vrai cause perdue comme l'a dit Cameron. Comment tu fais pour être aussi bête en maths ? M'exclamais-je en retournant m'assoir à ma place.

- On t'avais prévenu ! On peut pas compter sur lui en maths. JA-MAIS.

C'est seulement en retournant m'assoir que je remarque Will, Layla et Shawn en plein fou rire.

- Bah qu'est-ce qu'ils ont ? Demandais-je à mon voisin.

- Ils ont commencé à partir en fou rire quand il a parlé d'une personne qui s'appellerait Constance. Me répond le brun avec un rictus.

- Ah ouais d'accord. Et bah voilà le soutien dis donc !

- Au moins tu auras tenté ! Ria Kaliopé.

Je bougonne avec, malgré moi, un petit sourire.
L'ambiance redevient rapidement bruyante et familière, les conversations s'entremêlent, et les éclats de voix fusent. Max, fidèle à lui-même, reste au centre de l'attention, gesticulant pour appuyer son histoire.

Mais moi, je suis concentrée sur autre chose. Ou plutôt quelqu'un.

Élio est assis à côté de moi...mais encore plus proche que tout à l'heure.

Ma cuisse effleure la sienne, à peine, mais la chaleur traverse le tissu de mon jean comme une décharge électrique. Mon cœur cogne plus fort, et je retiens mon souffle une seconde de trop. Il ne bouge pas, il ne s'écarte pas. Et moi ? Je devrais faire quelque chose ? M'excuser ? Me redresser ? Non, ce serait bizarre. Alors, je reste immobile, priant pour que mon trouble ne soit pas trop évident.

Je sens son regard glisser sur moi avant qu'il ne prenne enfin la parole, tout bas, juste pour moi.

- Max, est infernale quand il s'y met...

Je tourne la tête vers lui. Nos visages sont proches, plus que d'habitude. Mon estomac se contracte sous l'effet d'un mélange d'excitation et de panique.

- C'est lui qui met l'ambiance. Dis-je en haussant les épaules, essayant d'avoir l'air détaché.

- Hum...

Son sourire au coin me désarme complètement. Il a ce regard, un peu amusé, un peu mystérieux, qui me fait sentir à la fois observée et spéciale. C'est ridicule. Il ne fait probablement pas exprès. J'essaie de le concentrer sur ce que raconte le brunet devant nous, mais impossible. La présence d'Élio accapare toute mon attention. Il est là, tout près. Et c'est insupportable, cette envie de lui parler davantage, de faire durer cet échange.

- T'as l'air vidée. Commente-t-il.

- Je viens de passer, je ne sais pas combien temps, peut-être à peine dix minutes à essayer d'expliquer à Max des maths. Des maths ! Une vraie gymnastique pour mon cerveau, là.

Il éclate de rire.

- Il est vrai que j'ai vu ta souffrance, même de loin.

- Tu m'étonnes...je crois que je vais devoir consulter un psy après ça.

J'exagère à peine. Max est adorable, mais les maths et lui, ça fait trois. Je l'ai vu froncer les sourcils si fort que j'ai cru qu'il allait se froisser le cerveau. Et au final, il n'a toujours pas compris.

Une voix, à la droite, le tire de mes pensées.

- Franchement, t'as une patience de dingue.

Je me fige.

Élio...

Il me regarde encore avec ce petit sourire en coin qui me fait perdre tous mes moyens.

- Moi, au bout de sa première réponse, si on peut appeler ça une vraie réponse, j'aurais abandonné. Ajoute-t-il en s'étirant.

Je secoue la tête en riant.

- J'ai failli. Plusieurs fois.

- Alors pourquoi t'as continué ?

Sa question me prend de court. Je cherche une réponse qui ait du sens, mais au fond, je crois que je n'en ai pas.

- Je sais pas. J'aime bien aider. Même si c'est un échec total.

- C'était pas un échec.

J'hausse un sourcil.

- Ah non ? Parce qu'il a quand même confondu le facteur mathématique et le facteur qui distribue le courrier.

Élio éclate de rire, et cette fois, c'est moi qui le fixe. J'adore son rire. Il est franc, naturel, un peu rauque. Il me donne envie de l'entendre encore.

- Bon, peut-être que lui, il a échoué. Concède-t-il en se calmant. Mais toi, t'as été hyper patiente. Je trouve ça cool.

Son compliment me prend de court, encore. Je ne m'attendais pas à ça. Je ne sais même pas quoi répondre.

- Ah...merci.

C'est idiot, mais je sens mes joues chauffer. Il aurait pu dire ça sur un ton léger, comme une simple remarque en passant, mais non. Il me regarde avec cette sincérité désarmante, comme s'il pensait réellement ce qu'il disait.

- Sérieusement. Insiste-t-il en croisant les bras. Je ne pense pas que beaucoup de gens auraient eu ta patience. Moi, en tout cas, j'en suis incapable.

Je le détaille un instant. Élio n'est pas du genre à s'étaler sur ce qu'il pense des autres. Il est drôle, un peu réservé parfois, mais il ne distribue pas les compliments à la légère.
Et pourtant, là, il est sérieux.

- Je suis sûre que tu as plus de patience que tu le crois. Dis-je, plus pour combler le silence que par réelle conviction.

- Mmh... Ça dépend avec qui.

Son regard s'attarde un peu plus sur moi, et je sens une chaleur étrange se répandre dans ma poitrine.

- T'es en train de dire que tu serais patient avec moi ?

Je ne sais pas pourquoi j'ai posé cette question. Peut-être parce que j'ai envie de savoir jusqu'où il ira. Peut-être parce que je cherche à comprendre ce qu'il pense de moi.
Il ne répond pas tout de suite. Son sourire s'adoucit, et il soutient mon regard, sans hésitation.

- J'en suis sûr.

J'avale difficilement ma salive. Il a dit ça avec une telle simplicité, comme si c'était une évidence. Comme si je comptais plus que je ne le pensais.
Je détourne les yeux, le cœur battant trop fort.

- C'est bon à savoir...

Ma voix est plus faible que je ne l'aurais voulu. Élio semble s'en amuser, mais il ne se moque pas.

- Il ne faudrait juste pas que tu me demandes de t'expliquer des maths. Ajoute-t-il, faussement sérieux.

Je ris, soulagée qu'il détende l'atmosphère.

- T'inquiète, je veux pas avoir ta mort sur la conscience.

- Bonne initiative.

Son genou effleure le mien, et cette fois, je suis incapable de me concentrer sur autre chose que ce minuscule contact.

Il ne s'éloigne pas.

Et moi, je ne veux pas bouger non plus.










PDV de Carla :

Je ne sais pas ce qu'il m'arrive.

Je n'ai jamais été comme ça avec un garçon. Alors pourquoi ce mec me fait sentir bizarre. J'ai tout le temps envie de le chercher, de le taquiner comme lui le fait avec moi, de rire avec lui, d'être avec lui tout simplement.

C'est étrange non ?

Je connais Shawn depuis seulement quelques semaines mais j'ai l'impression qu'on s'est toujours connu.
Il m'est déjà arrivé d'entendre ce genre de choses. Connaître une personne depuis peu mais avoir le sentiment que c'est depuis des années. J'ai sans arrêt entendu parlé de ce « phénomène », mais je ne pensais pas que ça existait vraiment. Quand on le dit comme ça, c'est assez dure à croire.

Néanmoins, c'est un peu effrayant. De se dire qu'une personne peut lire en vous comme dans un livre ouvert. Vous êtes mis a nu.
C'est ce que je ressens à son égard. Je me sens mis a nue. Je peux voir dans ses yeux qu'il pourrait percer tous mes secrets les plus profonds.

Pourtant, je sais que c'est pas le meilleur. Il est dragueur, joueur et narcissique. Un vrai coureur de jupon. Malgré ça, il est très intéressant, intelligent et plutôt beau. C'est sans doute ce que beaucoup de filles pensent de lui. Je ne pourrais pas leur en vouloir, la preuve, je suis pratiquement comme elle.

Et c'est ça qui me fait flipper.

Il y a très peu de chance qu'il ressente les mêmes choses que moi. Je dois sûrement être un simple divertissement pour lui. Et je ne compte sûrement pas me faire avoir si facilement, s'il me veut réellement, alors il devra me le montrer. Les quelques avances qu'il me fait ne suffisent pas pour me faire tomber, il faut qu'il me montre plus.
Je ne le laisserais pas me voir intérieurement si rapidement. Il faut qu'il rame un peu avant. Sinon, je ne pourrais jamais savoir s'il me veut réellement pour ce que je suis, avec mon caractère.

Mais, malheureusement pour moi, j'ai tendance à aimer jouer avec le feu. Quitte à me brûler les ailes...




















À suivre...
_______________________________

Un petit peu de joie est de retour dans ce chapitre !

Notre petit Max peut être épuisant parfois non ? Bien qu'il soit drôle, il n'est pas très futé... Tout comme Sean sois dit en passant ! :)) 🙂‍↔️😂

Nos deux protagonistes se rapprochent...🥰💕

On en découvre un peu sur les sentiments de la meilleure amie de notre protagoniste !
Est-ce que notre libéro va jouer avec le feu et se brûler ? Ou bien, va t-elle jouer mais remporter la partie ?
C'est ce que nous verrons bientôt. 👀

Mais un peu de patience, d'autres personnes doivent entrer en jeu. :)) 😉

A bientôt !

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