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MaelineElena
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꧁Ou sont ils passé꧂

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Mini Chapitre mais il le faut pour la SUITEE

( • ̀ω•́ )✧

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POV DE LOGAN :

Le matin filtrait à peine à travers les rideaux pâles, dessinant des ombres douces sur les murs de la chambre. Un silence complet régnait, seulement troublé par le bruit feutré du vent glissant contre la vitre. Logan ouvrit les yeux lentement, l'esprit encore embué de sommeil. Ses pensées étaient floues, comme s'il flottait quelque part entre rêve et réalité.

Il bougea légèrement, mais quelque chose le retint. Un poids léger. Une chaleur douce contre son flanc.

— « Hein ? »

Son regard descendit lentement... et son cœur manqua un battement.

Maéline.

Elle dormait contre lui, enroulée comme un chat. Son bras passé autour de lui, sa tête lovée dans le creux de son épaule, sa respiration régulière faisant doucement soulever son sweat. Ses longs cheveux blonds étaient éparpillés, et quelques mèches chatouillaient son cou.

Pendant quelques secondes, Logan ne bougea pas. Il resta figé, paralysé par le choc... mais aussi par quelque chose de plus doux, plus chaud, plus bizarre. Une émotion floue qui vibrait dans sa poitrine.

Il déglutit lentement. Sa gorge était sèche. Il aurait pu la réveiller doucement. Mais... il n'en avait pas envie. Il se contenta de rester là, les yeux posés sur elle, le souffle bloqué, le cœur battant fort sans qu'il comprenne pourquoi.

Elle avait l'air paisible. Vraiment. Comme si ce moment-là, ce silence entre eux, avait suspendu le monde.

Il aurait voulu pouvoir geler le temps.

Le soleil monta lentement dans le ciel, baignant la pièce d'une lumière dorée et chaleureuse. Le bois du parquet grinça légèrement, quelque part dans la maison. Mais ici, dans cette chambre, dans ce lit, c'était comme un cocon. Hors du temps.

Logan ferma les yeux un instant. Pas pour dormir. Juste pour garder cette sensation dans son corps.

Une heure passa.

Puis il sentit un petit mouvement.

Maéline bougea légèrement. Sa main glissa un peu sur son torse. Elle fronça doucement les sourcils. Puis elle ouvrit les yeux. Doucement. Très lentement. Elle releva la tête. Leurs regards se croisèrent.

Un silence.

— « ...Oh. » souffla-t-elle, le souffle encore un peu endormi, les joues déjà rosées.

Elle cligna plusieurs fois des yeux, puis releva un peu la tête, surprise... mais pas paniquée. Juste un peu confuse.

— « Euh... salut. »

Logan sourit, un peu gêné.

— « Salut. Bien dormi ? »

— « Comme un bébé. Je t'ai pas... trop écrasé ? »

— « Non. Pas du tout. T'étais légère. »

Elle se redressa lentement, étira ses bras avec un petit gémissement discret. Logan détourna le regard quelques secondes, le temps que son cœur arrête de faire des sprints.

— « On descend ? » proposa-t-elle.

— « Ouais. J'ai faim. »

Ils quittèrent la chambre ensemble, pieds nus sur le parquet tiède. Maéline avait gardé son sweat oversize qui lui tombait jusqu'aux cuisses, et elle avait encore l'air de flotter dans un rêve.

En bas, les parents de Logan s'affairaient déjà dans la cuisine.

— « Bonjour Maéline ! » lança la mère de Logan en la voyant apparaître. « Bien dormi ? »

Maéline esquissa un grand sourire.

— « Tellement bien. Merci encore de m'avoir accueillie. C'est super gentil. »

— « Oh, mais tu es adorable, ma chérie. Tu es ici comme chez toi. »

Le père de Logan leva son mug de café.

— « T'as mangé quelque chose ce matin, au moins ? »

— « Non, je descendais justement pour me remplir l'estomac ! »

Elle s'installa à table, à côté de Logan, et attrapa déjà une tartine.

Le petit-déjeuner se passa dans une ambiance détendue, familiale. Maéline se révélait être une excellente bavarde, et elle racontait plein de choses avec des expressions animées, des gestes, des mimiques qui faisaient rire tout le monde.

Logan, lui, se contentait souvent de la regarder.

Il ne comprenait pas vraiment ce qui se passait. Depuis quelques jours, tout était flou. Depuis leur retour de la dimension, depuis la fête foraine, depuis cette nuit dans sa chambre... quelque chose avait changé.

Quelque chose entre eux.

Il n'avait pas encore mis de mots dessus.

Mais ça l'habitait.

Quand ils eurent fini, ils remontèrent dans sa chambre pour se préparer. Maéline attrapa une brosse dans son sac et la tendit à Logan.

— « Tu veux me brosser les cheveux pendant que je regarde qui a répondu au message pour le parc ? »

— « Hein ? »

— « Allez. Tu fais gaffe et tu tires pas. Je suis pas une poupée. »

— « Bon, ok. »

Il s'installa derrière elle. Maéline s'assit sur le sol, téléphone à la main, pendant que Logan passait lentement la brosse dans ses cheveux emmêlés. C'était... bizarrement relaxant..

Elle parlait tout en lisant les réponses.

— « Elena est déjà au parc. Taylor a envoyé un truc bizarre genre "⚡🍪", donc ça veut sûrement dire qu'elle est là aussi avec Tyler. Aiden arrive avec Ben. Ashlyn aussi. »

— « Toute la bande. »

— « J'adore quand on est tous là. Même quand ça finit en chaos. »

Logan sourit, puis regarda la brosse pleine de mèches blondes.

— « Tu vas m'accuser de t'avoir scalper. »

— « J'ai survécu à pire. »

Elle se retourna, tendit sa main pour lui remettre une mèche de cheveux derrière l'oreille.

Un moment. Un battement suspendu.

Puis elle bondit debout.

— « Attends, je t'attache ton écharpe. »

— « Je sais faire. »

— « Pas comme moi. Regarde. »

Elle noua son écharpe autour de son cou dans un style complètement loufoque, avec une sorte de rosette.

— « Voilà ! »

— « T'as inventé un crime contre la mode. »

— « Tais-toi et porte-le. C'est ma création. »

Il garda l'écharpe. Juste parce que c'était elle. Parce que ça sentait son parfum. Parce que ça lui allait bien.

Arrivée au Parc 

Les rues étaient encore un peu givrées, mais le soleil de fin de matinée rendait l'air plus doux. Logan et Maéline marchaient d'un bon pas, leurs souffles formant de petits nuages dans l'air. L'écharpe farfelue nouée par Maéline flottait autour du cou de Logan, et elle s'en moquait gentiment toutes les deux minutes.

— « Avoue, t'as jamais été aussi stylé. »

— « Je vais finir par croire que tu veux me faire fuir toutes mes chances sociales. »

— « T'es avec moi, t'as pas besoin d'autre chose. »

La remarque était lancée avec légèreté, mais elle flotta entre eux une seconde de plus que nécessaire.

En arrivant au parc, un grand éclat de voix leur parvint. La bande était déjà là.

Aiden faisait tourner Elena sur un tourniquet de jeux d'enfants, pendant que Taylor sautait dans un tas de neige avec un cri de guerre digne d'un film d'action. Ashlyn, plus en retrait, riait doucement en observant la scène. Ben avec Tyler avait les bras croisés, l'air de se demander dans quoi il avait encore mis les pieds.

— « Trop tard pour fuir, » glissa Logan en voyant la scène.

— « Exactement ce que je voulais, » sourit Maéline avant de se précipiter vers le groupe.

— « À L'ATTAQUE ! »

Maéline fonça vers le bac à sable enneigé, ramassa une poignée de neige, et lança la première boule sur Aiden. Elle le frappa à l'épaule.

— « TRAHISON ! » hurla-t-il en se retournant. « C'est la guerre ! »

Et en une seconde, une bataille de boules de neige éclata dans tout le parc.

Elena se mit à crier des ordres tactiques que personne n'écoutait. Taylor roulait dans la neige en riant comme une enfant. Ben se fit toucher en plein front, déclara qu'il était "un homme tombé au combat" puis se laissa tomber dramatiquement dans la poudreuse. Logan esquiva une boule envoyée par Maéline... puis riposta, ce qui la fit hurler de rire.

C'était le genre de scène qu'on aurait pu croire sortie d'un souvenir. Un moment suspendu dans la simplicité, comme un retour à l'enfance. Sans peur, sans douleur, sans menace. Juste eux. Ensemble.

Ashlyn, au milieu de tout ça, souriait doucement. Elle observait. Comme si elle voulait graver cette image dans sa mémoire.

Une bande de gamins de seize ans qui riaient comme s'ils avaient six ans.

Et c'était beau.

Quand la fatigue se fit sentir, Aiden déclara :

— « Pause stratégique ! Il nous faut des vivres ! »

— « Traduction : viennoiseries, » compléta Elena.

Ils quittèrent le parc en rang plus ou moins dispersé, leurs manteaux couverts de neige et les cheveux en bataille. La boulangerie du coin embaumait déjà la pâte chaude et le chocolat fondu.

Ils se ruèrent à l'intérieur comme une mini-tornade.

— « Cinq pains au chocolat ! »

— « Sept ! »

— « Dix et un chausson aux pommes ! »

Maéline, les joues rosies par le froid, appuyée contre la vitrine, soufflait doucement sur ses doigts.

Logan l'observa du coin de l'œil.

Elle avait l'air ailleurs. Pas triste. Mais... pensante. Un peu distante, tout d'un coup.

Quand elle croisa son regard, elle sourit doucement, un peu moins large qu'à l'habitude.

— « Ça va ? » demanda-t-il.

— « Oui, oui. Juste un petit vertige. Rien de grave. »

Il n'insista pas. Mais il le garda dans un coin de sa tête.

Quelques minutes plus tard, ils étaient dehors, tous assis sur le muret de la boulangerie, à croquer leurs viennoiseries en se lançant des miettes.

Et c'est là que le téléphone de Maéline vibra.

POV de Maéline : L'Appel qui Champs boule tout

Elle sursauta un peu. Son téléphone, dans la poche intérieure de son manteau, vibrait avec insistance.

Elle recula d'un pas, s'excusant rapidement auprès du groupe, et marcha jusqu'à l'autre côté de la rue, là où les voitures étaient rares et les sons plus discrets.

Elle regarda l'écran.

"Numéro inconnu"

Son cœur rata un battement. Ses doigts glissèrent tout seuls pour décrocher.

— « Allô ? »

La voix à l'autre bout était grave, professionnelle.

— « Bonjour, je parle bien à Maéline  _____? »

— « Oui. C'est moi. »

— « Ici l'inspecteur Lemaire. Je suis chargé de l'enquête concernant vos parents. Nous avons du nouveau. »

Un nœud glacé se forma dans son estomac.

— « Ils... ils vont bien ? »

Un silence. Puis :

— « Nous les avons retrouvés. Ils étaient... enfermés. Dans le grenier de votre maison. Inconscients. »

— « QUOI ?! »

Son cri fit sursauter une femme qui passait à côté.

— « Ils sont dans le coma. Mais vivants. Ils ont été transférés à l'hôpital Saint-Rémi. Il est encore trop tôt pour comprendre ce qu'il s'est passé. »

Maéline sentit ses genoux fléchir. Elle s'appuya contre un poteau.

— « Comment... comment c'est possible... »

Elle entendait encore la voix d'Ashlyn, cette nuit-là. Le ton paniqué. Le choc.

Et là... ça devenait réel.

— « On aura besoin de vous pour répondre à quelques questions. Mais... pas tout de suite. »

— « Merci. Merci de m'avoir appelée. »

Elle raccrocha.

Et là, tout se figea.

Elle resta là, immobile, les mains tremblantes. Son souffle se faisait court. Ses yeux fixaient le sol. Elle n'arrivait pas à pleurer. Pas encore. Elle n'arrivait même pas à réfléchir.

Le monde venait de basculer. Encore une fois.

Et elle n'était pas prête.

POV partagé : Ben & Elena 

Le vent avait repris un peu de force, soulevant la neige déjà foulée mille fois par leurs bottes. Sur le muret devant la boulangerie, tout le monde riait encore un peu, un sucre au coin des lèvres, une tache de chocolat sur le menton d'Aiden, une miette dans les cheveux d'Ashlyn. Les bruits de la ville, les klaxons au loin, la musique d'un vieux poste de radio d'un café ouvert non loin... tout semblait normal.

Mais Elena fronça doucement les sourcils.

Elle regarda autour d'elle. Les visages. Les manteaux. Les rires.

— « Attends... Où est Maéline ? »

Ben leva la tête de son téléphone, une brioche entamée à la main.

— « Elle était juste là... »

— « Elle a décroché son téléphone, » dit Taylor, en pointant vaguement la rue de l'autre côté. « Elle s'est un peu éloignée, genre deux minutes après qu'on ait pris les viennoiseries. »

— « Deux minutes ? Ça fait au moins dix. »

Elena se leva, l'estomac soudainement un peu noué. Ben l'imita aussitôt.

— « On va la chercher, » déclara-t-elle simplement.

Ils traversèrent la rue, passant entre deux voitures à l'arrêt. Le trottoir opposé était quasi désert, juste quelques passants et un lampadaire légèrement incliné.

Et là, ils la virent.

Maéline.

Appuyée contre un poteau. Raide. Silencieuse. Les yeux grands ouverts, comme figés dans une pensée qui la dépassait.

— « Maéline ? » appela Elena.

Pas de réponse.

Elle s'approcha plus vite, suivie de Ben. Ils arrivèrent à sa hauteur.

Et ce qu'ils virent leur coupa l'envie de parler à la légère.

Ses yeux étaient rougis. Mais elle ne pleurait pas encore. Pas vraiment. Elle tremblait un peu, juste assez pour que Ben tende automatiquement une main vers elle.

— « Hey, Maé... qu'est-ce qui se passe ? »

Elle tourna la tête, lentement, comme si sa nuque était lourde. Son regard passa d'Elena à Ben. Et là, quelque chose céda dans ses pupilles.

— « Ils... ils les ont retrouvés. »

Elena sentit une angoisse monter dans sa gorge.

— « Qui ? Tes parents ? »

Maéline hocha lentement la tête.

— « Dans le grenier. Chez moi. Inconscients. Dans le coma. »

Un silence. Figé. Le monde s'était arrêté quelques secondes.

Ben sentit sa poitrine se serrer.

— « Quoi... ? Mais... on a fouillé cette maison. On... »

— « Personne n'avait regardé en haut. Ils étaient là. Tout ce temps. »

Sa voix s'érailla légèrement. Elena se plaça devant elle, posant une main sur son bras.

— « Est-ce qu'ils vont s'en sortir ? »

— « Je sais pas... Ils sont à l'hôpital Saint-Rémi. L'inspecteur m'a dit que c'était trop tôt pour savoir. »

Et là, sans prévenir, ses jambes faiblirent un peu. Ben la rattrapa instinctivement. Maéline se reprit aussitôt, secouant la tête.

— « Je vais bien. C'est juste... trop. D'un coup. »

Elena l'attira doucement dans ses bras. Pas longtemps. Juste assez.

Puis elle souffla, comme pour éloigner l'émotion et ramener le concret :

— « Tu veux qu'on aille les voir ? »

Maéline secoua la tête, presque mécaniquement.

— « Pas maintenant. Pas... pas avec tout le monde. »

Ben comprit. Il sortit son téléphone et tapa vite un message dans le groupe :

On rentre. On a trouvé Maéline. Elle a besoin d'un peu de calme. On vous explique plus tard.

Puis il leva les yeux vers elle.

— « On va où, maintenant ? Tu veux aller chez Logan ? »

Elle hésita. Puis hocha la tête, très légèrement.

— « Oui. Juste... marcher un peu avant. »

— « Alors on marche, » déclara Elena doucement.

Et c'est ce qu'ils firent.

Le froid se faisait plus glacial à mesure qu'ils s'éloignaient du groupe. Tout semblait normal, mais... trop calme. Le genre de calme qui hurle danger sans faire de bruit.

Maéline marchait devant, silencieuse. Elena à sa gauche, Ben à sa droite. Aucun mot. Et puis...

Un souffle étrange. Un frisson d'électricité statique dans l'air.
Un flash de lumière blanche.
Un grondement sourd.
Et tout bascula.

Le sol sembla disparaître sous leurs pieds. Le ciel lui-même s'effondra. Ils crièrent... mais aucun son ne sortit de leurs bouches.

Ils se réveillèrent dans une pièce sans fenêtre, aux murs de verre opalescent, infinis, presque vivants. Il n'y avait ni porte, ni serrure. Juste un silence trop parfait pour être réel.

Et puis une voix. Douce. Faussement bienveillante.

La Patronne.

« Trois pièces maîtresses. Trois grains de sable dans mes rouages. Vous avez fui vos rôles, joué les rebelles, et maintenant vous êtes ici. »

Ben se leva d'un bond, les poings serrés.

« Montre-toi, sale lâche ! »

« Lâche ? Oh, Benjamin... tu vas vite comprendre que je suis tout sauf ça. »

Elena serra les mains de Maéline, qui elle-même semblait plus glacée que le décor autour d'eux. Mais ses yeux... ses yeux étaient en feu.

« Pourquoi nous ? » murmura-t-elle.

La voix répondit, comme si elle souriait.

« Parce que vous êtes dangereux. Vous pensez encore que vous avez le choix. »

Un grincement résonna. Une paroi glissa sur le côté. La pièce s'élargit, révélant des miroirs. Et dans chaque miroir : des souvenirs. Des regrets. Des cauchemars.

« C'est ici que commencent vos vraies épreuves. » 

Trois chemins s'ouvrirent. Un pour chacun.

« Vous avez fui ce que vous êtes. Alors maintenant, vous allez devoir l'affronter. Jusqu'au bout. »

Maéline recula.

« On n'ira nulle part. On ne joue pas à ton jeu. »

Silence.

« Ce n'est pas un jeu. C'est une punition. »

Et sans qu'ils puissent l'éviter, chacun fut attiré vers son propre chemin.

🚪 DANS L'OMBRE — La suite à venir...

🩷 Maéline se retrouve face à un miroir brisé qui la plonge dans ses souvenirs, mais le décor change constamment autour d'elle. Elle est piégée dans un labyrinthe mouvant, où chaque couloir lui renvoie une émotion refoulée.
🧠 Elena est enfermée dans une salle vide avec une voix qui lui rappelle tous ses doutes et ses erreurs, une épreuve mentale destinée à briser sa confiance en elle.
🔥 Ben entre dans un espace en flammes où ses pensées l'assaillent, le confrontant à sa propre image déformée : l'épreuve du double, où il doit survivre à lui-même.

🧩 Leçon de la Patronne (commencée, mais pas finie)

Dans un murmure glaçant, elle laisse tomber :

« Les héros n'existent pas. Il n'y a que des pions qui refusent de l'être. Mais chaque pion a un prix. Voyons si vous valez vraiment ce que vous prétendez défendre. »

🔒 À suivre...

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