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Et pour lutter, elle ne pouvait qu’écrire
Et pour s’évader, elle ne pouvait qu’écrire
Et pour l’aimer, il fallait la lire
Et combien avait la patience de la lire jusqu’au bout ?
Et même ceux qui prenaient le temps de tourner les pages, ils ne pouvaient s’empêcher de relever toutes les fautes d’orthographes et de syntaxe.
Alors, elle s’effaçait.
S’il n’y a plus rien, il n’y a plus d’erreur, n’est-ce pas ?