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A toi
T’aimer, c’est être dans un hiver éternel
J'écris à défaut de vivre
J'implore ta malédiction
Rien qu'une larme
T'écrire ?
Une gorgée
Aimer c'est hanter
Baissez les stores
J'essaie.
Et après tout ça ?
Toujours derrière la fenêtre, jamais dans la lumière
J’ai peur
Je chante le blues
Les gens tristes
Une ombre dans ton regard
En voiture
Vois-tu mes mots ?
La nuit, tous les sentiments sont gris
La nuit, tous les rêves sont permis
Tu tatoues déjà mes pensées
La main verte
Rien, je ne regrette rien (sauf toi)
Pharmakon
Eloge de ta beauté
Un dernier verre
Mon bel amour
Est-ce cela l’amour ?
Ce n’est qu’une rupture, on s’en remet n’est-ce pas ?
Se souvenir, tue.
Un coeur d’enfant
Atchoum
Cette rupture est un mensonge, ton deuil impossible
Je choisis mes combats
Pourrais-je dire un jour à voix haute que tu es morte ?
J’ai peur du noir
Avec des peut-être
Se vider pour ne pas mourir
Touchée-coulée
Vomir des flots de mots dans le vent.
Ces mots qui restent bloqués dans ma trachée
Attention, ça coupe !
En plein dans le bide
Quelques mots d’adieux
Où ai-je mal ?
Des coulées d'encre
La douleur est humaine
Comment tourner la page sans t’enfermer dans le livre ?
Le soir
Un mauvais goût sur la langue
Incomprise
Ploc fait la pluie
10/04/2017
Sans dessus dessous
Rouler la nuit sans phares
Mauvaise fréquentation
Qu’on se dénonce
Mens moi pas, je me mens déjà bien assez
Je ne le fais pas exprès
Menteuse
Juste de la poésie
Une poupée de chiffon
Solitude quand tu me tiens
Accidentée
Orgueil mal placé
C'est toi
Etat : en deuil
Accepter l'inacceptable
Je suis têtue dans ma tristesse
17/11/2017
Est-ce pour ça que j’écris ?
07/09/2023
Adolescence
A propos d'elle
Pythagore rit de mon chagrin
Tire la chaise, d’un coup sec
Gribouillis
Hurle le
T'inquiète
OK
J’ai peut-être trop gardé mon âme d’enfant
Ecoutez-moi
Vivre à l’improviste
Bienvenue en enfer
Me perdre pour te perdre
Indestructible
Si je devais écrire ma biographie
Nos plus belles années
J’ai honte de cette pensée
Je dois être la plus forte
Régression pour ne pas dire le villain mot en D
Les absents ont toujours tort.
Mes bras, du petit bois, pour ton feu
Je suis un héro dans mon esprit
La réalisation
Ironie
L'espoir
Avant toi
Problème de réseaux sans doute
Ce n'est rien
Est-ce cela grandir ?
Le théorème du papillon
Autobiographiquement votre,
Je ne peux plus bouger
Ignorer mes besoins vitaux
Suis-je un tsunami ou un ouragan ?
(Aparté)
J’ai trouvé la logique dans le chagrin
Et si ! Je parviens à sourire en pensant à mon adolescence parfois
Attention ! Je craquelle facilement
Être honnête avec soi-même
J’ai été, je suis, et je serai
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Pourrais-je dire un jour à voix haute que tu es morte ?

Comment te dire ce que ça m’a fait le jour où on m’a annoncé que tu étais partie ?

A jamais. 

Pouf.

Plus là.

En un battement de cils.

Comment te parler maintenant que tu n’es plus là ?

A qui me confier ?

On m’a dit : elle est morte.

Et il y a un seul endroit où je me voyais pleurer,

tes bras.

Dans tes bras.

Comment faire le deuil de toi alors que tu es celle qui m’a montré que cette vie valait la peine?

Ô comme c’est injuste,

cruelle ironie.

Tu es cruelle.

Et d’ailleurs, c’est des conneries.

Le temps ne fait rien du tout.

A part t’effacer un peu plus chaque jour de ma mémoire.

La poignée de terre que j’ai avalée en pensant qu’on m'enterrait avec toi me pèse toujours sur l’estomac.

Peut-être je n’arrive pas à faire le deuil de toi, parce que je n’arrive pas à faire le deuil de moi.

Je n’arrive pas à quitter cette ado joyeuse et souriante qui est morte en même temps que toi ce jour-là. 

Elle me manque. 

Des jours, je vendrais un de mes reins pour la retrouver. 

Je veux la prendre dans mes bras, la consoler, absorber sa colère, lui dire de vivre ses émotions, au lieu d’user d’artifices pour les endormir.

Pour qu’une part d’elle survive quelque part en moi.

J’ai beau chercher, je ne la trouve pas, si ce n’est dans mes souvenirs.

Ici, il n’y a que l’adolescente triste et en colère, qui en veut au monde entier, et qui se déteste tellement, que ça m’en retourne l’estomac.

J’ai grandi depuis.

Je ris à nouveau bien sûr.

mais, il y a ce petit quelque chose en moi qui a cédé ce terrible jour, et non seulement je n’ai jamais réussi à le réparer, mais je n’ai jamais vraiment trouvé qu’est-ce qui avait cassé.

Peut-être étais-je trop occupé à réconforter tout le monde pour me rendre compte que moi aussi, il fallait que quelqu’un me serre fort dans ses bras pour éviter que les morceaux qui cassent ne tombent et soient perdus pour toujours.

Tu en as fait verser des larmes.

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