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“L’enfer c’est les autres.”
mais les autres ne voient pas que mon enfer c’est moi.
Ils ne comprennent pas que ce n’est pas juste un coup de mou.
Ils ne voient pas le rapace s’appuyant de tout son poids sur mes épaules, qui me murmure des mots de haine à l’oreille.
Le même rapace qui bouffait des charognes dans les dessins animés de nos enfances.
Il est là.
Avec moi.
En moi.
Il me dévore.
Je le sens.
Je suis son cadavre.
ça sonne creux en moi.