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Je n’avais pas besoin d’être forte.
J’avais besoin d’une épaule pour pleurer,
et des mots bateaux qui sonnent doux aux oreilles.
“ça va aller”
la nuit je torturais mon oreiller
pour m’assurer qu’il ne dénoncerait pas mes insomnies et mes crises de larmes.
Et ç’est là
l’angoisse est revenu,
et avec elle,
les crises
comme ça, mon coeur me faisait mal.
Littéralement.