Loading...
On me dit parfois que j’ai une plume.
Qu’il y a des maladresses, et des tournures alambiquées.
Mais que je parviens à mettre les mots
sur les sentiments
que moi-même je ne saisis pas totalement.
Je n’ose pas y croire.
C’est toujours plus simple quand on n’a pas trop d’espoir.
On tombe de moins haut,
et on se fait moins mal.
Le syndrôme de l’imposteur frappe plus fort la nuit.